Les conducteurs de bus craignent de reprendre la route après avoir exercé 5 jours de droit de retrait. Selon eux leur sécurité et celle des élèves dont ils ont la charge n'est toujours pas garantie. Ils exigent plus de mesures et multiplient les rencontres avec les autorités.
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Mikidadi Moussa secrétaire CHST Matis