C'est encore une fois le sud qui a accueilli le plus de vacanciers pour les fêtes de fin d'année. Le dispositif sécuritaire et de protection de l'environnement a tenu malgré des actes d'incivilité.
Des vacanciers trempés jusqu'aux os, mais heureux. Les plages du sud de Mayotte ont été prises d'assaut comme d'habitude à pareille époque. Mais cette année. La pluie tant attendue depuis des semaines est arrivée pour la Saint-Sylvestre. Alors, personne ne s'en est plainte.
Dans la commune de Bandrélé, un dispositif spécifique a été déployé. Une association de Mtsamoudou avait mobilisé 70 bénévoles pour faire le nettoyage des plages et assurer la sécurité des familles.
Les secouristes de Nyambadao ont installé des permanences durant toute la journée du 1er janvier.
Depuis le débuts des fêtes de fin d'année, la police municipale et les gendarmes ont été présentes.
Samedi, elles ont fait une descente sur la plage de Bambo. 200 coupes-coupes et d'autres armes blanches ont été saisis. Des habitants de la localité se sont plaints auprès de la municipalité de la présence de bandes armées qui pillaient les plantations de bananes, même celles qui se trouvent dans les cours.
Les agents de la mairie et les associations ont étaient victimes d'agressions verbales de la part de certains individus qui les ont pris à partie parce qu'ils ont osé leur dire de ne pas jeter leurs ordures sur les plages.
Dans la commune de Bandrélé, un dispositif spécifique a été déployé. Une association de Mtsamoudou avait mobilisé 70 bénévoles pour faire le nettoyage des plages et assurer la sécurité des familles.
Les secouristes de Nyambadao ont installé des permanences durant toute la journée du 1er janvier.
Depuis le débuts des fêtes de fin d'année, la police municipale et les gendarmes ont été présentes.
Samedi, elles ont fait une descente sur la plage de Bambo. 200 coupes-coupes et d'autres armes blanches ont été saisis. Des habitants de la localité se sont plaints auprès de la municipalité de la présence de bandes armées qui pillaient les plantations de bananes, même celles qui se trouvent dans les cours.
Les agents de la mairie et les associations ont étaient victimes d'agressions verbales de la part de certains individus qui les ont pris à partie parce qu'ils ont osé leur dire de ne pas jeter leurs ordures sur les plages.