Alors que l'appel de Rock Wamytan à radier 6700 électeurs des listes électorales provoque la fureur du "camp loyaliste", chacun à droite y va de sa contre proposition. Après le Rassemblement et Calédonie Ensemble, l'UCF appelle d'urgence à l'unité des partis loyalistes pour contrer le FLNKS.
Rock Wamytan aura peut-être réussi là où d'autres, au sein de la droite calédonienne ont jusqu'ici échoué: ressouder la famille "loyaliste" autour de la question de la radiation potentielle de 6700 électeurs des listes électorales provinciales . Après le Rassemblement qui, par la voix de Pierre Frogier, menace de faire radier autant d'électeurs dans les communes indépendantistes, après Calédonie Ensemble, dont le Président Philippe Gomès dénonce les contradictions de la Cour de Cassation sur la question, c'est L'union pour la Calédonie dans la France qui, par la plume de Sonia Backès, dénonce les "manoeuvres scandaleuses du FLNKS" et appelle à l'unité urgente de l'ensemble des partis "loyalistes" pour les contrer.
Après un entretien téléphonique avec le cabinet du Premier Ministre lui garantissant de la part de l'Etat vigilance quant au respect de l'esprit de l'accord de Nouméa... , l'UCF se réjouit que les autres formations "anti-indépendantistes" emboîtent le pas de son mouvement qui affirme travailler depuis des mois "avec des juristes pour défendre les intérêts des citoyens menacés".
Parce que le Rassemblement et Calédonie Ensemble vont désormais , selon Sonia Backès, dans le même sens que son mouvement, la porte-parole de l'UCF souhaite que les mouvements "loyalistes" coordonnent désormais leurs actions et profitent de la prochaine assemblée de la Province-sud, prévue le jeudi 27 février , pour montrer un visage "uni sur l'essentiel: la défense des droits fondamentraux des Calédoniens, de tous les Calédoniens".
En attendant, ces partis ont tous désormais le regard tourné vers Matignon. Les députés Sonia Lagarde et Philippe Gomes doivent ainsi rencontrer le 1er Ministre en début de semaine à Paris sur cette épineuse question.
D'autant que certaines interrogations se font jour, au sein de la droite calédonienne, sur le rôle que compte jouer l'Etat dans cette affaire. Des doutes et une incompréhension nées, il y a quelques mois pour l'UCF, d'une rencontre plutôt houleuse entre Gaël Yanno, Sonia Backès et le Ministre de l'Outremer Victorin Lurel,( voir ICI) sur la question des transferts de compétence prévus par l'article 27.
Après un entretien téléphonique avec le cabinet du Premier Ministre lui garantissant de la part de l'Etat vigilance quant au respect de l'esprit de l'accord de Nouméa... , l'UCF se réjouit que les autres formations "anti-indépendantistes" emboîtent le pas de son mouvement qui affirme travailler depuis des mois "avec des juristes pour défendre les intérêts des citoyens menacés".
Parce que le Rassemblement et Calédonie Ensemble vont désormais , selon Sonia Backès, dans le même sens que son mouvement, la porte-parole de l'UCF souhaite que les mouvements "loyalistes" coordonnent désormais leurs actions et profitent de la prochaine assemblée de la Province-sud, prévue le jeudi 27 février , pour montrer un visage "uni sur l'essentiel: la défense des droits fondamentraux des Calédoniens, de tous les Calédoniens".
En attendant, ces partis ont tous désormais le regard tourné vers Matignon. Les députés Sonia Lagarde et Philippe Gomes doivent ainsi rencontrer le 1er Ministre en début de semaine à Paris sur cette épineuse question.
D'autant que certaines interrogations se font jour, au sein de la droite calédonienne, sur le rôle que compte jouer l'Etat dans cette affaire. Des doutes et une incompréhension nées, il y a quelques mois pour l'UCF, d'une rencontre plutôt houleuse entre Gaël Yanno, Sonia Backès et le Ministre de l'Outremer Victorin Lurel,( voir ICI) sur la question des transferts de compétence prévus par l'article 27.