Après l'alerte tsunami de ce dimanche consécutive au séisme des îles Salomon et qui, finalement, ne concernait pas directement la Nouvelle-Calédonie, nombreux sont ceux qui se demandent comment fonctionnent ces alertes. Quelques éléments de réponse.
C'était pourtant un dimanche tranquille de vacances scolaires mais les Calédoniens ont connu, ce 13 avril, une grosse frayeur après la diffusion, par les média internationaux, d'une alerte tsunami incluant la Nouvelle-Calédonie, consécutive au séisme de magnitude 7.6 aux îles Salomon.
Une frayeur d'autant plus grande que les réseaux sociaux calédoniens se sont très vite emparés de la nouvelle, provoquant l'interrogation de tous sur le silence, en début de matinée, des autorités calédoniennes. En réalité, s'il y a bien eu une alerte concernant la région (notamment les îles Salomon et la Papouasie Nouvelle-Guinée), celle concernant la Nouvelle-Calédonie n'aura duré que quelques minutes, tout danger de tsunami ayant été écarté. La nouvelle, en revanche, aura été plus rapide que la vague hypothétique pour atteindre les rivages de l'autre hémisphère...
Au delà d'une gestion de communication de crise qu'il faudra sans aucun doute améliorer, comment fonctionnent le réseau de surveillance et d'alerte des tsunami?
Alexandre Rozga-Lebrun et Michel Bouilliez, REPONSE:
Une frayeur d'autant plus grande que les réseaux sociaux calédoniens se sont très vite emparés de la nouvelle, provoquant l'interrogation de tous sur le silence, en début de matinée, des autorités calédoniennes. En réalité, s'il y a bien eu une alerte concernant la région (notamment les îles Salomon et la Papouasie Nouvelle-Guinée), celle concernant la Nouvelle-Calédonie n'aura duré que quelques minutes, tout danger de tsunami ayant été écarté. La nouvelle, en revanche, aura été plus rapide que la vague hypothétique pour atteindre les rivages de l'autre hémisphère...
Au delà d'une gestion de communication de crise qu'il faudra sans aucun doute améliorer, comment fonctionnent le réseau de surveillance et d'alerte des tsunami?
Alexandre Rozga-Lebrun et Michel Bouilliez, REPONSE: