Sollicitée par la fédération française, l’ancienne reine des bassins va intégrer le staff technique et logistique des Bleus pour la compétition. Une mission qu’elle aimerait poursuivre jusqu’aux J.O 2016.
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Se mettre au service des autres, quitte à accepter un rôle qui ne relève pas de l’enseignement technique d’une discipline maîtrisée. Peu importe pour Diane Bui Duyet, l’ancienne championne de France et médaillée d’Europe sur 50 et 100 mètres papillon ne rechigne pas à donner un coup de main. L’an dernier déjà, elle s’était mise à la disposition des nageurs tricolores pour les mondiaux de Barcelone. A près de deux semaines des championnats d’Europe à Berlin, la proposition lui a été renouvelée par la fédération française de natation.
La réponse, au pied levé, ne s’est pas fait attendre pour assurer une mission qui n’est pourtant pas forcément gratifiante au premier abord. "C’est du basique, cela va de la bouteille d’eau à l’organisation des transports, de l’hébergement, ou encore de l’équipement. On fait en sorte que les compétiteurs soient focalisés sur leur concentration, leur performance, leur réussite" explique Diane Bui Duyet.
Plus que la lumière, l’ex-référence calédonienne de la natation est en quête d’expériences, toujours dans l’intérêt des autres. Elle s’est ainsi lancée dans l’animation à la radio ou le développement de projets sportifs au niveau politique, à la province Sud et à la mairie de Nouméa.
Son raisonnement reste le même pour sa discipline de prédilection : aider, emmagasiner des connaissances, et se faire plaisir. Encadrer les Bleus en Allemagne allait donc de soi. "Participer à la compétition, c’est excitant. On retrouve les mêmes sensations que lorsque l’on est nageuse. On a les copains et les copines qui sont à la bataille pour la médaille. C’est en revanche plus fatiguant parce que l’on ne s’occupe plus uniquement de soi. A Barcelone, il fallait gérer 23 ou 24 nageurs. C’est une belle aventure humaine" souligne t’elle.
Du côté de Berlin, Diane Bui Duyet compte bien faire profiter de son expérience d’un rendez-vous international de très haut niveau: "Il y a les têtes d’affiches de l’équipe de France, mais aussi des nouveaux venus comme Thomas Dahlia. On a ce rôle de conseiller, d’intermédiaire entre l’équipe technique, l’entraîneur et le reste du groupe. Cela permet aux jeunes d’avoir un soutien, et aux plus aguerris de pouvoir se reposer sur nous, c'est aussi l’opportunité de gagner en compétence sur l’encadrement et de pouvoir la réutiliser ici sur le territoire ». ".
L’ambition n'a pas quitté Diane Bui Duyet qui espère rester dans l’encadrement technique de l’équipe de France jusqu’aux Jeux Olympiques de Rio au Brésil en 2016...
La réponse, au pied levé, ne s’est pas fait attendre pour assurer une mission qui n’est pourtant pas forcément gratifiante au premier abord. "C’est du basique, cela va de la bouteille d’eau à l’organisation des transports, de l’hébergement, ou encore de l’équipement. On fait en sorte que les compétiteurs soient focalisés sur leur concentration, leur performance, leur réussite" explique Diane Bui Duyet.
Plus que la lumière, l’ex-référence calédonienne de la natation est en quête d’expériences, toujours dans l’intérêt des autres. Elle s’est ainsi lancée dans l’animation à la radio ou le développement de projets sportifs au niveau politique, à la province Sud et à la mairie de Nouméa.
Son raisonnement reste le même pour sa discipline de prédilection : aider, emmagasiner des connaissances, et se faire plaisir. Encadrer les Bleus en Allemagne allait donc de soi. "Participer à la compétition, c’est excitant. On retrouve les mêmes sensations que lorsque l’on est nageuse. On a les copains et les copines qui sont à la bataille pour la médaille. C’est en revanche plus fatiguant parce que l’on ne s’occupe plus uniquement de soi. A Barcelone, il fallait gérer 23 ou 24 nageurs. C’est une belle aventure humaine" souligne t’elle.
Du côté de Berlin, Diane Bui Duyet compte bien faire profiter de son expérience d’un rendez-vous international de très haut niveau: "Il y a les têtes d’affiches de l’équipe de France, mais aussi des nouveaux venus comme Thomas Dahlia. On a ce rôle de conseiller, d’intermédiaire entre l’équipe technique, l’entraîneur et le reste du groupe. Cela permet aux jeunes d’avoir un soutien, et aux plus aguerris de pouvoir se reposer sur nous, c'est aussi l’opportunité de gagner en compétence sur l’encadrement et de pouvoir la réutiliser ici sur le territoire ». ".
L’ambition n'a pas quitté Diane Bui Duyet qui espère rester dans l’encadrement technique de l’équipe de France jusqu’aux Jeux Olympiques de Rio au Brésil en 2016...