Ouverture du 12e Comité des Signataires à Paris ce vendredi (18h heure de Nouméa). Quatre points sont au menu de cette journée de discussion : l’avenir institutionnel, le corps électoral de sortie, le transfert des compétences et le nickel. Un ordre du jour ambitieux pour un casting resserré.
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Un Comité des Signataires 2014 qui comptera autour de la table six signataires historiques, dont quatre dans les rangs du seul Front Pour l’Unité (FPU) : Pierre Frogier, Bernard Deladrière, Simon Loueckhote et Harold Martin. Paradoxalement le FPU, qui se présente dans une position très critique vis-à-vis des autres signataires et surtout du gouvernement socialiste, aura la plus forte délégation.
Les trois chaises vides de l’Union Calédonienne déséquilibrent de fait le rapport de force : 15 non-indépendantistes face à 4 indépendantistes en incluant Jean Kaÿs, le président du sénat coutumier. Mais pour Paul Néaoutyine, ce n’est pas cette configuration asymétrique qui pourrait empêcher l’élaboration d’un consensus sur tel ou tel sujet.
Ce Comité 2014 marque aussi le retour à une formule plus conforme aux premières générations de comités : de 32 participants Calédoniens l’année dernière on passe donc à 18, ce qui à défaut de faciliter la compréhension mutuelle, devrait au moins permettre une plus libre et franche expression de chacun.
A noter la confirmation de la place des femmes dans cette haute instance de la vie politique calédonienne, des actrices qui ne sont plus réduites aux rôles secondaires, comme souvent par le passé : une député (Sonia Lagarde), une présidente de gouvernement (Cynthia Ligeard) et une ministre de la République (George Pau-Langevin)...
Les trois chaises vides de l’Union Calédonienne déséquilibrent de fait le rapport de force : 15 non-indépendantistes face à 4 indépendantistes en incluant Jean Kaÿs, le président du sénat coutumier. Mais pour Paul Néaoutyine, ce n’est pas cette configuration asymétrique qui pourrait empêcher l’élaboration d’un consensus sur tel ou tel sujet.
Ce Comité 2014 marque aussi le retour à une formule plus conforme aux premières générations de comités : de 32 participants Calédoniens l’année dernière on passe donc à 18, ce qui à défaut de faciliter la compréhension mutuelle, devrait au moins permettre une plus libre et franche expression de chacun.
A noter la confirmation de la place des femmes dans cette haute instance de la vie politique calédonienne, des actrices qui ne sont plus réduites aux rôles secondaires, comme souvent par le passé : une député (Sonia Lagarde), une présidente de gouvernement (Cynthia Ligeard) et une ministre de la République (George Pau-Langevin)...