40 pays et territoires de la région Pacifique, dont la Nouvelle-Calédonie, vont participer ce mardi 3 février 2015 à un exercice d’alerte au tsunami. Il vise à tester les procédures de prise de décision et les outils de prévision fournis par le centre d’alerte aux tsunamis du Pacifique.
•
« Le but de cet exercice est d’éprouver les procédures de prise de décision et les outils de prévision fournis par le Centre d’alerte aux tsunamis du Pacifique (PTWC) », explique le directeur de la DSCGR dans un communiqué. Baptisé « Pacific Wave 2015 », aucune participation de la population n’est requise.
En conséquence, la DSCGR (la direction de la sécurité civile et de la gestion des risques) appelle la population à faire preuve de discernement dans le cas où elle viendrait à prendre connaissance, de manière fortuite, d’un message d’alerte ou d’un ordre d’évacuation.
Cet exercice à usage interne implique le centre de Nouméa de l’Institut de Recherche et de Développement (IRD, responsable du réseau sismologique de Nouvelle-Calédonie) et la direction de la sécurité civile et de la gestion des risques (DSCGR). Il se déroulera ce mardi 3 février 2015 à partir de 8h00. La Nouvelle-Calédonie se joindra à plus de 40 autres pays et territoires de la région Pacifique pour cet exercice de grande ampleur.
En conséquence, la DSCGR (la direction de la sécurité civile et de la gestion des risques) appelle la population à faire preuve de discernement dans le cas où elle viendrait à prendre connaissance, de manière fortuite, d’un message d’alerte ou d’un ordre d’évacuation.
Cet exercice à usage interne implique le centre de Nouméa de l’Institut de Recherche et de Développement (IRD, responsable du réseau sismologique de Nouvelle-Calédonie) et la direction de la sécurité civile et de la gestion des risques (DSCGR). Il se déroulera ce mardi 3 février 2015 à partir de 8h00. La Nouvelle-Calédonie se joindra à plus de 40 autres pays et territoires de la région Pacifique pour cet exercice de grande ampleur.