A Port-Villa, capitale du Vanuatu, le lycée francophone Montmartre n‘est plus qu’un champ de ruines. Le cyclone Pam a tout emporté sur son passage.
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« C’est le chaos ». Dès qu’on arrive au Lycée Montmartre à Port-Vila, on comprend la violence des vents de Pam… ils ont déraciné des banians centenaires et détruit des champs et des bâtiments de l’établissement catholique. Le paysage est apocalyptique. En temps normal, Montmartre accueille plus de 500 élèves francophones, dont une majorité d’internes.
Les dégâts sont considérables à commencer par les salles de classes. Il y en a neuf et la plupart ressemblent à un champ de ruine. Les bénévoles s’activent partout pour nettoyer ce qui peut l’être, dans la bibliothèque le dégât des eaux a fait des ravages mais finalement, le bâtiment s’en sort plutôt bien par rapport au dortoir des filles.
Pas d’eau, pas d’éléctricité et aussi un parc dévasté. Avant Pam, à Montmartre on cultivait légumes et tubercules, les plantations assuraient la moitié de la nourriture de l’établissement. Aujourd’hui ,il ne reste plus rien. Impossible dans ces conditions d’assurer la rentrée scolaire lundi, à Montmartre, elle sera donc repoussée. Jusqu’à quand mystère… L’autre mystère pour Pierre Metsan, le Proviseur du lycée, c’est la croix et ses sculptures religieuses, les rares rescapés du cyclone.
Les dégâts sont considérables à commencer par les salles de classes. Il y en a neuf et la plupart ressemblent à un champ de ruine. Les bénévoles s’activent partout pour nettoyer ce qui peut l’être, dans la bibliothèque le dégât des eaux a fait des ravages mais finalement, le bâtiment s’en sort plutôt bien par rapport au dortoir des filles.
Pas d’eau, pas d’éléctricité et aussi un parc dévasté. Avant Pam, à Montmartre on cultivait légumes et tubercules, les plantations assuraient la moitié de la nourriture de l’établissement. Aujourd’hui ,il ne reste plus rien. Impossible dans ces conditions d’assurer la rentrée scolaire lundi, à Montmartre, elle sera donc repoussée. Jusqu’à quand mystère… L’autre mystère pour Pierre Metsan, le Proviseur du lycée, c’est la croix et ses sculptures religieuses, les rares rescapés du cyclone.