Les fortes pluies de ces dernières semaines n'auront pas épargné les fruits et les légumes. Depuis le mois de décembre, ils ont déserté les étals. Et quand ils y sont, les tarifs sont prohibitifs.
Comme lors de chaque forte précipitation, les maraîchers craignent de gros dégâts dans leurs champs. Cette année encore, les producteurs de légumes et de fruits n'ont pas été épargnés. Les pluies intenses de ces dernières semaines ont impacté les récoltes de tomates, salades ou carottes. S'en suit une forte hausse des prix.
En ce moment, une salade coûte pratiquement deux fois son prix habituel. Selon l’établissement de régulation des prix agricoles, la salade coûte en moyenne 740 francs le kilo, contre 1100 francs à l’import. Pour pallier le manque de production locale, des autorisations à l’importation sont donc ouvertes chaque mois. Sauf que l’Australie et la Nouvelle-Zélande, principaux exportateurs de fruits et légumes pour la Nouvelle-Calédonie, ont dû eux aussi faire face à une météo capricieuse. Du coup, la production est moindre et les prix sont plus élevés.
Il va donc falloir mettre la main au porte-monnaie pour manger des fruits et des légumes. Et il faudra attendre plusieurs mois pour que les cultures repoussent et que les producteurs locaux puissent réapprovisionner les marchés.
En ce moment, une salade coûte pratiquement deux fois son prix habituel. Selon l’établissement de régulation des prix agricoles, la salade coûte en moyenne 740 francs le kilo, contre 1100 francs à l’import. Pour pallier le manque de production locale, des autorisations à l’importation sont donc ouvertes chaque mois. Sauf que l’Australie et la Nouvelle-Zélande, principaux exportateurs de fruits et légumes pour la Nouvelle-Calédonie, ont dû eux aussi faire face à une météo capricieuse. Du coup, la production est moindre et les prix sont plus élevés.
Il va donc falloir mettre la main au porte-monnaie pour manger des fruits et des légumes. Et il faudra attendre plusieurs mois pour que les cultures repoussent et que les producteurs locaux puissent réapprovisionner les marchés.