Invité du JT de NC1ère dimanche 10 mai 2015, le secrétaire fédéral du Parti Socialiste pour la Nouvelle-Calédonie Michel Jorda, est revenu sur les enjeux d'avenir de la Nouvelle-Calédonie. Pour lui, la politique du PS ne doit pas s'axer sur l'indépendance - ou non, mais sur les problèmes sociaux.
Interrogé par Charlotte Risch sur le positionnement de son parti en Nouvelle-Calédonie, le patron du PS local Michel Jorda a affirmé que celui-ci était "social". Pour lui, les véritables enjeux ne sont plus dans l'indépendance, ou la non-indépendance, mais bien dans les problèmes sociaux. Michel Jorda a notamment cité les récentes agressions d'un médecin et d'une infirmière à Dumbéa-sur-Mer, pour lui emblématiques des malaises de la société calédonienne.
Pour Michel Jorda encore, la politique doit être "concrète", et axée autour d'un "débat d'idées", comme l'école, en tant qu'ascenseur social, ou la réforme fiscale, qui doit venir dépoussiérer une économie de comptoir. Le patron du PS local a affirmé avoir retenu des choses "intéressantes" dans la déclaration de politique générale de Philippe Germain, même s'il déclare vouloir "attendre des actes".
Pour Michel Jorda encore, la politique doit être "concrète", et axée autour d'un "débat d'idées", comme l'école, en tant qu'ascenseur social, ou la réforme fiscale, qui doit venir dépoussiérer une économie de comptoir. Le patron du PS local a affirmé avoir retenu des choses "intéressantes" dans la déclaration de politique générale de Philippe Germain, même s'il déclare vouloir "attendre des actes".