89 cas contre 1400 l'année dernière à la même époque: le zika tend à s'essouffler en Nouvelle-Calédonie. Les autorités sanitaires continuent de surveiller la circulation du virus, mais recentrent leur action sur la dengue et le chikungunya...
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Le premier cas de zika avait été importé en novembre 2013 de Polynésie française. En avril 2014, on comptait environ 1400 cas en Nouvelle-Calédonie. Les analyses sérologiques et les épandages systématiques autour de l'habitat des personnes contaminées ont sans doute aidé à contenir l'épidémie.
Aujourd'hui, ces deux actions n'ont plus lieu d'avoir cours, même si la surveillance du virus reste de mise. La Direction des affaires sanitaires et sociales, la DASS, se recentre sur la dengue et le chikungunya, plus graves que le zika. Une quarantaine de cas - à parts égales - de ces deux maladies ont été recensés depuis le début de l'année 2015.
Le vecteur de ces trois virus est l'Aedes Aegypti, ce moustique aux pattes tigrées qui pique principalement en journée. Le meilleur moyen de s'en protéger reste donc la destruction des gîtes larvaires autour de chez soi, et le recours à des répulsifs. Même chose si la maladie est avérée, cette fois, pour ne pas contaminer l'entourage.
Aujourd'hui, ces deux actions n'ont plus lieu d'avoir cours, même si la surveillance du virus reste de mise. La Direction des affaires sanitaires et sociales, la DASS, se recentre sur la dengue et le chikungunya, plus graves que le zika. Une quarantaine de cas - à parts égales - de ces deux maladies ont été recensés depuis le début de l'année 2015.
Le vecteur de ces trois virus est l'Aedes Aegypti, ce moustique aux pattes tigrées qui pique principalement en journée. Le meilleur moyen de s'en protéger reste donc la destruction des gîtes larvaires autour de chez soi, et le recours à des répulsifs. Même chose si la maladie est avérée, cette fois, pour ne pas contaminer l'entourage.