L’Intersyndicale "Vie Chère" veut relancer une dynamique sur des sujets qui "n’avancent pas". Elle pointe du doigt l'observatoire des prix qui, pour elle, ne fonctionne pas. Et affirme vouloir relancer les discussions au plus vite pour la mise en place des réformes déjà votées.
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L’Intersyndicale "Vie Chère" commence à perdre patience: selon elle, l’observatoire des prix et des marges, comme l’autorité de la concurrence, sont des outils qui existent, mais ne fonctionnent pas. Autre préoccupation majeure pour l’intersyndicale : le prix de l’énergie, et les frais bancaires, qui restent toujours élevés en Nouvelle-Calédonie.
Il faut relancer les discussions au plus vite, précise l’intersyndicale, qui veut faire le point avec le Haut-Commissaire et le gouvernement, et affirme par ailleurs qu'elle n'hésitera pas à se mobiliser sur le terrain pour faire avancer la lutte contre la vie chère.
Didier Guénant-Jeanson, secrétaire général de l’USOENC, membre de l’intersyndicale "Vie Chère", au micro de Malia-Losa Falelavaki
Guénant itw
Il faut relancer les discussions au plus vite, précise l’intersyndicale, qui veut faire le point avec le Haut-Commissaire et le gouvernement, et affirme par ailleurs qu'elle n'hésitera pas à se mobiliser sur le terrain pour faire avancer la lutte contre la vie chère.
David Meyer, secrétaire général de la Fédération des Fonctionnaires, porte-parole de l’intersyndicale, au micro de Malia-Losa Falelavaki.
meyer itw