Le calédonien Matthieu Fayard affronte ce matin pour nous les Etats-Unis en demi-finale de la Coupe du Monde de football américain à Canton dans l'Ohio. Pour l'instant, les Bleus sont menés 12-0.
Nous vous avions déjà parlé de son incroyable histoire. Celle d'un joueur de deuxième division métropolitaine qui a frôlé l'accession en première division avec son club des Falcons de Bron-Villeurbanne et qui dans la foulée s'est retrouvé sélectionné en équipe de France. Une sélection de choix : le staff tricolore l'a retenu comme cinq autres linebackers pour participer à la Coupe du Monde de football américain aux Etats-Unis à Canton dans l'Ohio. Le rêve est en marche et les Bleus sont en demi-finale de la compétition. Ils ont tour à tour surclassé le Brésil 31-6, puis l'Australie 53-3. Matthieu Fayard a joué chacun de ses deux matchs.
"Les deux premiers matchs je suis titulaire en inside linebacker et sur toutes les unités spéciales, c'est à dire sur toutes les phases qui se jouent au pied comme le kick off (coup d'envoi), le punt (dégagement sur la 4e et dernière tentative offensive) ou le field goal block (le block défensif sur transformation adverse)". Du temps de jeu et la confiance des coachs dans les responsabilités : pour Matthieu, c'est le scénario idéal. Sans parler du cadre de la compétition. "On joue les rencontres au Hall Of Fame Stadium de Canton. C'est le stade où sont intronisés au Hall of Fame tous les grands joueurs qui ont marqué l'histoire du championnat de football américain, la NFL. Et pendant une semaine, avant le début de la compétition, nous étions à Cincinnati où nous profitions des installations de l'équipe universitaire des Bearcats en première division NCAA". Que demander de plus ?
Peut-être de retrouver sur la route des Bleus, les américains qui jouent à domicile cette Coupe du Monde. Cela tombe bien, c'est le cas ce matin.
"L'équipe de France a fait une grosse impression dans la compétition. On est attendus au tournant. Ce sera un match intense. Les américains exécuteront rapidement et il faudra monter notre niveau de jeu pour aller en finale. Cette expérience unique de jouer Team USA resserre encore plus les liens et nous comptons faire un résultat, annonçait Matthieu avant le début du match. Au sein des Bleus, plusieurs éléments évoluent dans les meilleurs championnats européens, en Allemagne ou en Autriche. D'autres joueurs sont au Canada. Mais l'essentiel des troupes pratique la discipline en métropole. Côté US, la plupart sont des universitaires. "Ils sont très forts".
Le LIVE ci-dessous :
http://www.bigtimesportsohio.com/ifaf-live-stream
"Les deux premiers matchs je suis titulaire en inside linebacker et sur toutes les unités spéciales, c'est à dire sur toutes les phases qui se jouent au pied comme le kick off (coup d'envoi), le punt (dégagement sur la 4e et dernière tentative offensive) ou le field goal block (le block défensif sur transformation adverse)". Du temps de jeu et la confiance des coachs dans les responsabilités : pour Matthieu, c'est le scénario idéal. Sans parler du cadre de la compétition. "On joue les rencontres au Hall Of Fame Stadium de Canton. C'est le stade où sont intronisés au Hall of Fame tous les grands joueurs qui ont marqué l'histoire du championnat de football américain, la NFL. Et pendant une semaine, avant le début de la compétition, nous étions à Cincinnati où nous profitions des installations de l'équipe universitaire des Bearcats en première division NCAA". Que demander de plus ?
Peut-être de retrouver sur la route des Bleus, les américains qui jouent à domicile cette Coupe du Monde. Cela tombe bien, c'est le cas ce matin.
"L'équipe de France a fait une grosse impression dans la compétition. On est attendus au tournant. Ce sera un match intense. Les américains exécuteront rapidement et il faudra monter notre niveau de jeu pour aller en finale. Cette expérience unique de jouer Team USA resserre encore plus les liens et nous comptons faire un résultat, annonçait Matthieu avant le début du match. Au sein des Bleus, plusieurs éléments évoluent dans les meilleurs championnats européens, en Allemagne ou en Autriche. D'autres joueurs sont au Canada. Mais l'essentiel des troupes pratique la discipline en métropole. Côté US, la plupart sont des universitaires. "Ils sont très forts".
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