Après trois semaines de blocage de l’installation du stockage de déchets (ISD) à Gadji, la centrale de Prony Energies a dû passer du charbon au fuel. L’impact financier est extrêmement lourd et les risques techniques non négligeables. Pour le gouvernement la situation est urgente...
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Si aucune solution n'est trouvée pour le stockage des cendres de Prony Energies, jusque-là effectué à Gadji, la situation va devenir problématique. Au point que le porte-parole du gouvernement Thierry Cornaille a évoqué ce mardi matin, la perspective d'une réduction d'activité du métallurgiste, et celle de coupures de courant dans certaines communes, ou quartiers.
Car la construction du centre de stockage sur site n'est pas envisageable avant l'horizon 2018. Actuellement, le coût du transport et du stockage des cendres est de 1,5 milliard par an; un coût qui devrait être divisé par deux avec cette nouvelle construction. A noter qu'un comité local d’information et de concertation doit se réunir vendredi à 14h à la mairie de Païta pour tenter de débloquer la situation avec les coutumiers.
Car la construction du centre de stockage sur site n'est pas envisageable avant l'horizon 2018. Actuellement, le coût du transport et du stockage des cendres est de 1,5 milliard par an; un coût qui devrait être divisé par deux avec cette nouvelle construction. A noter qu'un comité local d’information et de concertation doit se réunir vendredi à 14h à la mairie de Païta pour tenter de débloquer la situation avec les coutumiers.
Le reportage de Martine Nollet
Prony