Le 1er septembre prochain, le mur d'escalade de Magenta fermera ses portes si rien n'est fait. Certains collégiens et lycéens ont pourtant aux examens une épreuve d'escalade comptant pour le brevet des collèges et le bac.
Depuis l'incendie criminel qui a détruit la structure en décembre dernier, le comité a dû mettre en place un service de gardiennage 24h/24. Coût de ce service : 7 millions de francs CFP, soit environ 50% du budget annuel de fonctionnement. La structure n'arrive plus à faire face à ses échéances et devrait fermer le 31 août 2015.
En effet parmi les trois épreuves obligatoires en éducation physique et sportive, 500 collégiens ont choisi l'escalade. Et pour les épreuves du bac, 300 élèves sont concernés.
L'impact de la fermeture du mur n'est pas négligeable pour ces élèves. Malgré tout le comité régional d'escalade est contraint de maintenir sa décision.
Si le comité régional quitte les lieux, il n'y aura plus de points de sécurité, ni de prises sur le mur et donc plus de certification nationale du site. Impossible donc de pratiquer en toute sécurité.
Pour trouver une solution, le comité régional a lancé une pétition, et appelle les fédérations d'escalade française, néo-zélandaise et australienne à le soutenir.
Une réunion est prévue d'ici la fin de la semaine prochaine pour trouver une solution.
Une fermeture qui viendrait mettre en péril des épreuves du brevet des collèges et le baccalauréat.
En effet parmi les trois épreuves obligatoires en éducation physique et sportive, 500 collégiens ont choisi l'escalade. Et pour les épreuves du bac, 300 élèves sont concernés.
L'impact de la fermeture du mur n'est pas négligeable pour ces élèves. Malgré tout le comité régional d'escalade est contraint de maintenir sa décision.
Si le comité régional quitte les lieux, il n'y aura plus de points de sécurité, ni de prises sur le mur et donc plus de certification nationale du site. Impossible donc de pratiquer en toute sécurité.
Pour trouver une solution, le comité régional a lancé une pétition, et appelle les fédérations d'escalade française, néo-zélandaise et australienne à le soutenir.
Une réunion est prévue d'ici la fin de la semaine prochaine pour trouver une solution.