Calédonie Ensemble a tenu hier soir son deuxième Conseil politique de l'année, à l'université de Nouville. Aucun sujet d'actualité n'a été écarté et surtout pas la très sensible question des exportations de minerai vers la Chine. Au centre également des discussions, le référendum éclairé en 2018
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Les exportations de minerai vers la Chine seraient un mauvais coup porté au pays et aux générations futures. La formule est lapidaire, et le refus de Calédonie Ensemble de souscrire à ces exportations, l’est tout autant. Le parti de Philippe Gomès réclame d’ailleurs une séance publique au Congrès sur le sujet.
Le député de la deuxième circonscription affirme également que son parti va prendre, la semaine prochaine, des initiatives pour des mesures fortes dans les domaines de la mine et de la métallurgie. Car pour Philippe Gomès, « les chemins qui ont été pris ces dernières semaines portent atteinte aux intérêts supérieurs du pays ». Quant aux crispations qui commencent à se faire sentir chez les rouleurs après le rendez-vous manqué du gouvernement, vendredi, le député Gomès oppose le principe de légalité.
Enfin Philippe Gomès, a affirmé qu’un troisième accord était inenvisageable, et a renouvelé sa confiance dans la capacité des forces politiques, indépendantistes et non-indépendantistes, à se rassembler autour d’un projet fédérateur. Le député de la deuxième circonscription a également précisé qu’une série de réunions à l’attention des membres de CE mais aussi plus largement, des Calédoniens, allait être organisée à partir du mois de novembre par son parti.
Le député de la deuxième circonscription affirme également que son parti va prendre, la semaine prochaine, des initiatives pour des mesures fortes dans les domaines de la mine et de la métallurgie. Car pour Philippe Gomès, « les chemins qui ont été pris ces dernières semaines portent atteinte aux intérêts supérieurs du pays ». Quant aux crispations qui commencent à se faire sentir chez les rouleurs après le rendez-vous manqué du gouvernement, vendredi, le député Gomès oppose le principe de légalité.
Enfin Philippe Gomès, a affirmé qu’un troisième accord était inenvisageable, et a renouvelé sa confiance dans la capacité des forces politiques, indépendantistes et non-indépendantistes, à se rassembler autour d’un projet fédérateur. Le député de la deuxième circonscription a également précisé qu’une série de réunions à l’attention des membres de CE mais aussi plus largement, des Calédoniens, allait être organisée à partir du mois de novembre par son parti.
Le reportage de Sheïma Riahi et de José Solia