La police aurait-elle pu empêcher l'attaque terroriste de Parramatta ? Le terroriste qui a abattu un fonctionnaire de police ne semble pas avoir agi seul.
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L'enquête progresse et plus elle avance, plus une chose semble claire : Farhad Mohammad n'a pas agi en loup solitaire, contrairement à ce que pensait les policiers ce week-end.
Ce jeune de 15 ans était certes tout seul quand il a abattu un fonctionnaire de police, mais il était proche d'un réseau, dont il rencontrait les membres à la mosquée de Parramatta.
Hier la police a arrêté trois hommes soupçonnés d'être membres de ce réseau, et d'avoir formé Farhad Mohammad. Trois hommes bien connus des forces de l'ordre, et déjà interrogés en septembte 2014 quand la police a déjoué un projet de décapitations d'Australiens.
Catherine Byrne, la numéro 2 de la police de Nouvelle Galles-du-Sud:
"Il nous faudra encore du temps pour déterminer la nature des relations entre Farhad Mohammad et ces hommes avant l'attaque. Cela ne veut pas dire que nous pouvions prévoir leur projet d'attaque terroriste."
Depuis vendredi, beaucoup de fidèles qui fréquentent la mosquée de Parramatta ont été interrogés sur le comportement de Farhad Mohammad. Selon l'un de ces témoins, l'adolescent était souvent assis dans un coin avec un groupe de quatre hommes jugés antipathiques par le reste de la communauté. En examinant les images des caméras de surveillance, les policiers ont découvert des visages connus parmi ces quatre hommes.
Ce jeune de 15 ans était certes tout seul quand il a abattu un fonctionnaire de police, mais il était proche d'un réseau, dont il rencontrait les membres à la mosquée de Parramatta.
Hier la police a arrêté trois hommes soupçonnés d'être membres de ce réseau, et d'avoir formé Farhad Mohammad. Trois hommes bien connus des forces de l'ordre, et déjà interrogés en septembte 2014 quand la police a déjoué un projet de décapitations d'Australiens.
Catherine Byrne, la numéro 2 de la police de Nouvelle Galles-du-Sud:
"Il nous faudra encore du temps pour déterminer la nature des relations entre Farhad Mohammad et ces hommes avant l'attaque. Cela ne veut pas dire que nous pouvions prévoir leur projet d'attaque terroriste."
Depuis vendredi, beaucoup de fidèles qui fréquentent la mosquée de Parramatta ont été interrogés sur le comportement de Farhad Mohammad. Selon l'un de ces témoins, l'adolescent était souvent assis dans un coin avec un groupe de quatre hommes jugés antipathiques par le reste de la communauté. En examinant les images des caméras de surveillance, les policiers ont découvert des visages connus parmi ces quatre hommes.