Après une période de soins de plusieurs mois au Parc zoologique et forestier de Nouméa, deux notous, une espèce en voie de disparition, ont été relâchés.
"C'est possible d'en trouver au bord des routes ou lorsque les gens vont faire des randonnées", explique Oriane Lallemand, soigneuse au Parc zoologique et forestier de la Province Sud, au sujet des notous. "Ils sont un peu fatigués, un peu blessés. Du coup, les gens nous les amènent au parc et nous, on les retape un peu."
La seule contrainte, pour leur vie en captivité, est de les habituer à se nourrir.
"En captivité, on leur donnait un peu de banane, un peu de papaye, de la carotte bouillie, de la chouchoute bouillie, avec un peu de pain, et un supplément alimentaire", poursuit Oriane Lallemand.
Leur remise en liberté est facilitée par le fait que les animaux savent déjà se nourrir dans leur espace naturel et par la limitation dans le temps de leur période de captivité.
Deux spécimens, un mâle et une femelle, qui ont été bagués après avoir passé plusieurs mois au Parc, sont relâchés. Ce lâcher de notous est important pour la survie de l'espèce. En effet, le plus gros pigeon arboricole du monde est en voie de disparition.
"L'espoir est qu'il forme un couple et se reproduise", conclut Oriane Lallemand.
Retrouvez le reportage en images de Karine Arroyo et Philippe Kuntzmann pour NC1ère :
La seule contrainte, pour leur vie en captivité, est de les habituer à se nourrir.
"En captivité, on leur donnait un peu de banane, un peu de papaye, de la carotte bouillie, de la chouchoute bouillie, avec un peu de pain, et un supplément alimentaire", poursuit Oriane Lallemand.
Leur remise en liberté est facilitée par le fait que les animaux savent déjà se nourrir dans leur espace naturel et par la limitation dans le temps de leur période de captivité.
Deux spécimens, un mâle et une femelle, qui ont été bagués après avoir passé plusieurs mois au Parc, sont relâchés. Ce lâcher de notous est important pour la survie de l'espèce. En effet, le plus gros pigeon arboricole du monde est en voie de disparition.
"L'espoir est qu'il forme un couple et se reproduise", conclut Oriane Lallemand.
Retrouvez le reportage en images de Karine Arroyo et Philippe Kuntzmann pour NC1ère :