La Mission d'Insertion des Jeunes de Nouvelle-Calédonie organise son Forum spécial Job d'été. Pour les jeunes, l'enjeu est souvent double : trouver une activité rémunérée et obtenir une expérience professionnelle.
Sur le Forum spécial Job d'été, il y en avait pour tous les goûts. De l'hôtellerie au commerce, en passant par les banques et la restauration. A l'initiative de ce Forum, la Mission d'Insertion des Jeunes (MIJ) a convié 40 entreprises à venir se présenter à la jeunesse calédonienne.
"La MIJ a vraiment besoin des entreprises pour orienter les jeunes vers le monde du travail", explique Kathia Contesse, directrice adjointe de la MIJ. "On lutte contre l'oisiveté, on donne peut-être aux jeunes l'envie de poursuivre leurs études".
L'opération est souvent un succès. Ainsi, l'an passé, près de 5600 jeunes de 16 à 26 ans avaient participé au Forum et près de la moitié avaient signé une convention pour un petit job. Pour les jeunes, la motivation est, entre autres, d'ordre pécuniaire puisqu'il s'agit de trouver une occupation rémunérée pendant les vacances d'été.
"J'essaie déjà de me faire un petit peu d'argent pendant les vacances", explique Corentin Giacomino, âgé de 20 ans.
Mais l'appât du gain n'est pas le seul facteur qui encourage les jeunes à venir chercher un emploi de vacances. "Ca me permet aussi d'augmenter mon expérience professionnelle", poursuit le jeune homme.
"C'est surtout pour acquérir de nouvelles expériences", souligne Sylverine Ouamambare, une jeune fille de 23 ans. "On se lasse vite des métiers aujourd'hui, on a envie de se diversifier pour avoir plus de choix dans l'avenir."
Si l'expérience peut être un plus dans la recherche de jobs d'été, le manque d'expérience n'est pas forcément un handicap et certaines entreprises n'hésitent pas à recruter des jeunes pour leur permettre de découvrir un nouveau métier et de se former.
"Si il a de l'expérience et qu'il est étudiant, et qu'il a déjà travaillé avec nous, on va le reprendre si ça s'est très bien passée", indique Patricia Druilhe, directrice adjointe des ressources humaines SCIE Distribution. "Mais on prend des jeunes qui n'ont pas d'expérience et qui apprennent le métier".
Retrouvez le reportage en images de Sheima Riahi et Claude Lindor pour NC1ère :
"La MIJ a vraiment besoin des entreprises pour orienter les jeunes vers le monde du travail", explique Kathia Contesse, directrice adjointe de la MIJ. "On lutte contre l'oisiveté, on donne peut-être aux jeunes l'envie de poursuivre leurs études".
L'opération est souvent un succès. Ainsi, l'an passé, près de 5600 jeunes de 16 à 26 ans avaient participé au Forum et près de la moitié avaient signé une convention pour un petit job. Pour les jeunes, la motivation est, entre autres, d'ordre pécuniaire puisqu'il s'agit de trouver une occupation rémunérée pendant les vacances d'été.
"J'essaie déjà de me faire un petit peu d'argent pendant les vacances", explique Corentin Giacomino, âgé de 20 ans.
Mais l'appât du gain n'est pas le seul facteur qui encourage les jeunes à venir chercher un emploi de vacances. "Ca me permet aussi d'augmenter mon expérience professionnelle", poursuit le jeune homme.
"C'est surtout pour acquérir de nouvelles expériences", souligne Sylverine Ouamambare, une jeune fille de 23 ans. "On se lasse vite des métiers aujourd'hui, on a envie de se diversifier pour avoir plus de choix dans l'avenir."
Si l'expérience peut être un plus dans la recherche de jobs d'été, le manque d'expérience n'est pas forcément un handicap et certaines entreprises n'hésitent pas à recruter des jeunes pour leur permettre de découvrir un nouveau métier et de se former.
"Si il a de l'expérience et qu'il est étudiant, et qu'il a déjà travaillé avec nous, on va le reprendre si ça s'est très bien passée", indique Patricia Druilhe, directrice adjointe des ressources humaines SCIE Distribution. "Mais on prend des jeunes qui n'ont pas d'expérience et qui apprennent le métier".
Retrouvez le reportage en images de Sheima Riahi et Claude Lindor pour NC1ère :