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Dans l'affaire jugée à la cour d'assises de Nouvelle-Calédonie en cette fin de semaine, le Parquet a requis quatorze ans de prison et douze ans de suivi socio-judiciaire pour le chef d'accusation de viol simple. En 2003, André Nemba avait séquestré et violé une mère de famille. Et n’avait été retrouvé que onze ans plus tard grâce à son empreinte génétique, prélevée à la suite de violences conjugales. «Le dossier de l'horreur absolue», a estimé l'avocat général dans son réquisitoire. Le verdict est attendu ce vendredi à la mi-journée.