Séance dégustation, ce mercredi matin, à Nouméa, avec des apiculteurs, des représentants des métiers de la bouche et une dizaine de stagiaires en hôtellerie-restauration. Objectif : former des palais pour le prochain concours de miel calédonien, le 3 août.
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Au même titre que le vin ou le chocolat, la dégustation de miel demande de la technique et de l’entrainement. En amont d’un prochain concours de miel, le 3 août prochain, des formations ont lieu pour constituer le jury. Une session s’est déroulée ce mercredi matin en présence de futurs testeurs, apiculteurs et professionnels des métiers de bouche.
Organisée au Giep, le Groupement pour l’insertion et l’évolution professionnelle, la session a intégré une dizaine de stagiaires des métiers de l’hôtellerie-restauration. Sébastien Gastaldi et Jeannette Bonua ont engrangé de l’expérience dans le cadre de leur avenir professionnel et qui « pourra leur servir dans leur future carrière de serveur ou de serveuse ».
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Floral, épicé, altéré ou même chimique… Le panel des saveurs de miel est extrêmement large. Pour les reconnaître, le palais doit se former à la dégustation. Mais bien d’autres éléments sont à prendre en compte pour juger de la qualité d’un miel, tels que la couleur, l’odeur, la texture, les saveurs et les arômes.
L’apicultrice Clémentine Flouhr et les autres participants aux formations au protocole de dégustation de miel s’en sont rendu compte. Ils constitueront le jury du deuxième concours de miel organisé début août par le Centre de promotion de l’apiculture de l’Adecal Technopole. Pour l’apicultrice, il s’agit, certes, de devenir jury, mais aussi de professionnaliser encore la filière et de valoriser les productions.
« On découvre certains miels exceptionnels, qui sortent de l’ordinaire… », se réjouit Philippe Bruot, maître distilleur et déjà initié l’an passé.
Le prochain concours de dégustation de miel, le 3 août prochain, devra départager plus de 40 miels issus des ruchers calédoniens, avec un jury de palais parfaitement affuté.
Le reportage télévisé de Isabelle Braouet et Claude Lindor
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ITW stagiaires
Des critères multiples
Floral, épicé, altéré ou même chimique… Le panel des saveurs de miel est extrêmement large. Pour les reconnaître, le palais doit se former à la dégustation. Mais bien d’autres éléments sont à prendre en compte pour juger de la qualité d’un miel, tels que la couleur, l’odeur, la texture, les saveurs et les arômes.
L’apicultrice Clémentine Flouhr et les autres participants aux formations au protocole de dégustation de miel s’en sont rendu compte. Ils constitueront le jury du deuxième concours de miel organisé début août par le Centre de promotion de l’apiculture de l’Adecal Technopole. Pour l’apicultrice, il s’agit, certes, de devenir jury, mais aussi de professionnaliser encore la filière et de valoriser les productions. Ça permet d’avoir une idée de la qualité ce qu’on produit.
« On découvre certains miels exceptionnels, qui sortent de l’ordinaire… », se réjouit Philippe Bruot, maître distilleur et déjà initié l’an passé.
Le prochain concours de dégustation de miel, le 3 août prochain, devra départager plus de 40 miels issus des ruchers calédoniens, avec un jury de palais parfaitement affuté.
Le reportage télévisé de Isabelle Braouet et Claude Lindor