Jean-Michel, un homme de 37 ans a été reconnu coupable de violences aggravées en récidive. Des faits qui remontent au 18 septembre 2016 à Nouville. Quelques jours auparavant, il s’était rendu avec ce fusil à plomb au lycée Pétro Attiti pour réclamer le carnet de correspondance de sa fille.
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A la vie scolaire du Lycée Pétro Attiti le 8 septembre, il a proféré des insultes et des menaces parce que sa fille n’a pas eu son carnet de correspondance.
« Vous savez qu’il est interdit de rentrer avec une arme dans un établissement scolaire ? » demande le président du tribunal…le fusil à plomb est resté dans son emballage explique le prévenu.
Un fusil qu’il a acheté parce qu’il y a trop de chiens autour de chez lui au squat de Nouville précise t-il.
Le 18 septembre, il a tiré sur les tôles et sur les 11 chiens des voisins, un animal a été blessé et une balle a ricoché et frôlé l’oreille de la jeune femme qui depuis ce jour là a des problèmes d’audition. Le couple a pris la fuite et appelé la police.
Dans son réquisitoire, le ministère public a demandé 1 an d’emprisonnement avec mandat de dépôt puisque les violences ont été commises en état de récidive.
Le tribunal a suivi, le père de famille est arrivé libre à l’audience, il est reparti sous escorte en direction du Camp-Est.
Agent d’espaces verts, il effectuera sa peine sous le régime de la semi-liberté, le travail la journée et retour en prison pour la nuit.
« Vous savez qu’il est interdit de rentrer avec une arme dans un établissement scolaire ? » demande le président du tribunal…le fusil à plomb est resté dans son emballage explique le prévenu.
Un fusil qu’il a acheté parce qu’il y a trop de chiens autour de chez lui au squat de Nouville précise t-il.
Le 18 septembre, il a tiré sur les tôles et sur les 11 chiens des voisins, un animal a été blessé et une balle a ricoché et frôlé l’oreille de la jeune femme qui depuis ce jour là a des problèmes d’audition. Le couple a pris la fuite et appelé la police.
Dans son réquisitoire, le ministère public a demandé 1 an d’emprisonnement avec mandat de dépôt puisque les violences ont été commises en état de récidive.
Le tribunal a suivi, le père de famille est arrivé libre à l’audience, il est reparti sous escorte en direction du Camp-Est.
Agent d’espaces verts, il effectuera sa peine sous le régime de la semi-liberté, le travail la journée et retour en prison pour la nuit.