L'individu, agé de 29 ans est soupçonné d'avoir tué une touriste britannique de 21 ans et blessé deux autres personnes. Il aurait lancé " Allah Akbar" lors de son arrestation.
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Le Français de 29 ans, en situation régulière en Australie a agit seul. Les faits se sont produits mardi soir dans une auberge pour "backpackers" de Home Hill, localité rurale au sud de Townsville, dans le nord de l'Etat du Queensland. Appelée sur les lieux, la police a découvert le cadavre d'une Britannique de 21 ans et un Britannique de 30 ans grièvement blessé. Une troisième personne, un Australien, a été brièvement hospitalisé pour des blessures légères.
Le directeur adjoint de la police Steve Gollschewski a indiqué que rien ne laissait penser à ce stade que le suspect pourrait avoir un lien avec le groupe Etat islamique.
"Les premiers éléments de l'enquête montrent que des propos qui peuvent être interprétés comme extrémistes ont été tenus par le suspect", a déclaré Steve Gollschewski."Il semble qu'il ait utilisé la phrase Allah Akbar quand il a été arrêté. Cette information sera versée à l'enquête mais nous n'écartons aucune piste à ce stade, qu'elle soit politique ou criminelle", a-t-il poursuivi.
Lorsque les journalistes lui ont demandé si le Français avait des liens avec le groupe Etat islamique, M. Gollschewski a répondu "non" en ajoutant qu'aucune menace spécifique contre la population n'était connue
"Nous n'avons aucune information, mise à part le fait qu'il ait agi seul", a déclaré Sharon Cowden, commandant de la police fédérale australienn Elle a précisé que le Français, était inconnu des services de police.
Le directeur adjoint de la police Steve Gollschewski a indiqué que rien ne laissait penser à ce stade que le suspect pourrait avoir un lien avec le groupe Etat islamique.
"Les premiers éléments de l'enquête montrent que des propos qui peuvent être interprétés comme extrémistes ont été tenus par le suspect", a déclaré Steve Gollschewski."Il semble qu'il ait utilisé la phrase Allah Akbar quand il a été arrêté. Cette information sera versée à l'enquête mais nous n'écartons aucune piste à ce stade, qu'elle soit politique ou criminelle", a-t-il poursuivi.
Lorsque les journalistes lui ont demandé si le Français avait des liens avec le groupe Etat islamique, M. Gollschewski a répondu "non" en ajoutant qu'aucune menace spécifique contre la population n'était connue
"Nous n'avons aucune information, mise à part le fait qu'il ait agi seul", a déclaré Sharon Cowden, commandant de la police fédérale australienn Elle a précisé que le Français, était inconnu des services de police.