La base aérienne 186 « lieutenant Paul Klein » a ouvert ses portes exceptionnellement ce jeudi à l’occasion de la journée des métiers de l’aéronautique. Objectif : faire découvrir ces professions à plus de 1300 étudiants, lycéens et collégiens venus de tout le territoire.
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La journée a débuté sur les chapeaux de roues sur le tarmac de la base arienne 186 "Lieutenant Paul Klein". Lycéens et collégiens venus en nombre semblent ébahis devant la prestation d'hélitreuillage des professionnels de l'armée. Une découverte qui pourrait susciter des vocations. C'est le cas pour Axel, élève du collège de Mariotti : « On découvre les métiers dans le milieu militaire. J’en imaginais pas mal, mais c’est vrai que là, il y en a vraiment beaucoup et c’est amusant et çà donne envie. J’aimerais bien être pilote par exemple. »
Isais, élève du collège Georges Baudoux est admirative : « Pour être militaire, il faut quand même avoir un sacré niveau et il faut être courageux je pense parce que ce n’est pas donné à tout le monde de vouloir partir en mer pendant des jours et des jours pour faire une opération. Je ne suis pas très branchée guerre, mais si c’est des missions humanitaires, çà pourrait vraiment m’intéresser parce que c’est important. »
« C’est de la vulgarisation finalement de nos missions qui peuvent paraître complexes ou inaccessibles et au contraire, de leur montrer que çà existe, qu’il y en a même ici, et que c’est parfaitement accessible. Avec un baccalauréat, vous pouvez rentrer dans la marine nationale et participer, via tout un corps de métiers, à faire voler des avions et à participer aux missions de la marine ».
Une jolie manière de vulgariser des missions de sécurité nécessaires qui s'est poursuivie toute la journée avec de nombreuses animations spectaculaires.
Isais, élève du collège Georges Baudoux est admirative : « Pour être militaire, il faut quand même avoir un sacré niveau et il faut être courageux je pense parce que ce n’est pas donné à tout le monde de vouloir partir en mer pendant des jours et des jours pour faire une opération. Je ne suis pas très branchée guerre, mais si c’est des missions humanitaires, çà pourrait vraiment m’intéresser parce que c’est important. »
Des professions accessibles
Pour les professionnels, c'est aussi l'occasion d'informer mais aussi et surtout de partager avec les plus jeunes. C’est ce qu’assure le lieutenant Thomas Vibert, pilote sur le Gardian, avion de surveillance maritime de la marine nationale.« C’est de la vulgarisation finalement de nos missions qui peuvent paraître complexes ou inaccessibles et au contraire, de leur montrer que çà existe, qu’il y en a même ici, et que c’est parfaitement accessible. Avec un baccalauréat, vous pouvez rentrer dans la marine nationale et participer, via tout un corps de métiers, à faire voler des avions et à participer aux missions de la marine ».
Une jolie manière de vulgariser des missions de sécurité nécessaires qui s'est poursuivie toute la journée avec de nombreuses animations spectaculaires.