Le grand chef de la tribu de Petit Couli a été condamné ce lundi par le tribunal correctionnel pour des faits de violences. Un mandat d’arrêt a été décerné à l’audience.
Les faits remontent à octobre dernier, tout juste une semaine avant l’incendie de la grande case de Petit Couli. Ce jour là, un homme accompagne des amis en visite dans un tour de Calédonie. En passant à Sarraméa, les dits touristes prennent en photo depuis la voiture la fameuse case.
Un cliché qui provoque la colère de Berger Kawa qui arrête la voiture et menace d’un sabre d’abattis. Les photos sont interdites sans permission, et les visites sont payantes, un panneau l’indique vocifère le grand chef qui attrape par le col l’homme sorti du véhicule pour discuter. Le ton monte, s’ensuit une série d’insultes. L’homme remonte en voiture pour s’en aller mais Berger Kawa n’en n’a pas fini.
Il passe le sabre d’abattis par la fenêtre et frôle le visage de sa victime. Puis, avec ses ongles cette fois, il tente d’arracher l’œil de sa victime.
La voiture parvient à s’enfuir. L’homme a le visage en sang, le certificat médical fait état de plusieurs plaies sur le visage et d’une griffure de la cornée.
Une violence extrême dénonce Me Milliard, l’avocat de la partie civile.
On ne croit pas les mensonges de Berger Kawa renchérit le procureur Dutot en réclamant 6 mois de prison ferme.
Il faut dire que le grand chef de Petit Coulis, absent de l’audience, avait minimisé les faits dans sa déposition, reconnaissant juste avoir secoué sa victime.
Le tribunal ne l’a pas cru, et est allé au-delà des réquisitions en le condamnant à un an de prison ferme.
Un cliché qui provoque la colère de Berger Kawa qui arrête la voiture et menace d’un sabre d’abattis. Les photos sont interdites sans permission, et les visites sont payantes, un panneau l’indique vocifère le grand chef qui attrape par le col l’homme sorti du véhicule pour discuter. Le ton monte, s’ensuit une série d’insultes. L’homme remonte en voiture pour s’en aller mais Berger Kawa n’en n’a pas fini.
Il passe le sabre d’abattis par la fenêtre et frôle le visage de sa victime. Puis, avec ses ongles cette fois, il tente d’arracher l’œil de sa victime.
La voiture parvient à s’enfuir. L’homme a le visage en sang, le certificat médical fait état de plusieurs plaies sur le visage et d’une griffure de la cornée.
Une violence extrême dénonce Me Milliard, l’avocat de la partie civile.
On ne croit pas les mensonges de Berger Kawa renchérit le procureur Dutot en réclamant 6 mois de prison ferme.
Il faut dire que le grand chef de Petit Coulis, absent de l’audience, avait minimisé les faits dans sa déposition, reconnaissant juste avoir secoué sa victime.
Le tribunal ne l’a pas cru, et est allé au-delà des réquisitions en le condamnant à un an de prison ferme.