Avant la phase d'expérimentation début 2018, l'heure est d'abord aux concertations avec les élus, la gendarmerie et la police nationale. Objectif : entendre les propositions des hommes et des femmes de terrain.
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C'était une promesse de campagne d'Emmanuel Macron. La mise en place d'une police de sécurité du quotidien afin de lutter contre la montée de la violence qui touche les villes et les quartiers, contres les incivilités et contre ce qui perturbe la vie quotidienne. Pour que cela aboutisse, le ministre de l'Intérieur a souhaité consulter les forces de l'ordre.
Ce mardi les élus, la gendarmerie et la police nationale ont été reçus successivement par Thierry Lataste, le Haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie. Objectif : entendre les propositions des hommes et des femmes de terrain afin de mieux connecter le travail de la police et de la gendarmerie, mieux équiper et mieux protéger les policiers et enfin pouvoir recentrer la police sur ses missions premières.
Les syndicats eux, sont mitigés. Ils dénoncent leurs conditions de travail. A ce jour, la Nouvelle-Calédonie compte 420 agents et certaines organisations syndicales souhaitent des renforts.
Ce mardi les élus, la gendarmerie et la police nationale ont été reçus successivement par Thierry Lataste, le Haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie. Objectif : entendre les propositions des hommes et des femmes de terrain afin de mieux connecter le travail de la police et de la gendarmerie, mieux équiper et mieux protéger les policiers et enfin pouvoir recentrer la police sur ses missions premières.
Les syndicats eux, sont mitigés. Ils dénoncent leurs conditions de travail. A ce jour, la Nouvelle-Calédonie compte 420 agents et certaines organisations syndicales souhaitent des renforts.
Les précisions de Dave Waheo-Hnasson et Claude Lindor