Valoriser les scories produites par l’industrie du nickel tout en fixant le CO2 produit, tel est l’objectif du projet « Carboscories 2 ». Il est porté par plusieurs laboratoires scientifiques et il est financé par plusieurs organismes publics.
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La SLN et KNS produisent actuellement 3 millions de tonnes de scories par an, sans compter les émissions de CO2. Des volumes de déchets importants mais très peu valorisés.
Carboscories 2 : un piège à CO2
Après trois ans d’études, les résultats s’avèrent concluants. Une réunion de démarrage a donc eu lieu ce lundi 15 octobre à Nouméa pour en présenter les grandes lignes.
Le projet « Carboscories 2 » est un nouveau procédé qui pourrait permettre, si le projet est mené à son terme, d’éliminer ces millions de tonnes de scories produites chaque année.
Avec ce nouveau procédé, les scientifiques ont prouvé qu’il était possible de minéraliser les scories, c'est-à-dire de stocker le CO2 émis.
La question est aujourd’hui de savoir comment valoriser ces scories et sous quelle forme. Une question à la quelle devra répondre Florent Bourgeois, et son équipe.
Ce procédé sera-t-il moins énergivore et répond-t-il à un enjeu environnemental ?
Ecoutez la réponse de Florent Bourgeois, professeur au sein du Laboratoire de Génie Chimie de Toulouse. Il est à la tête de ce projet.
Carboscories 2 : un piège à CO2
Après trois ans d’études, les résultats s’avèrent concluants. Une réunion de démarrage a donc eu lieu ce lundi 15 octobre à Nouméa pour en présenter les grandes lignes.
Le projet « Carboscories 2 » est un nouveau procédé qui pourrait permettre, si le projet est mené à son terme, d’éliminer ces millions de tonnes de scories produites chaque année.
Avec ce nouveau procédé, les scientifiques ont prouvé qu’il était possible de minéraliser les scories, c'est-à-dire de stocker le CO2 émis.
La question est aujourd’hui de savoir comment valoriser ces scories et sous quelle forme. Une question à la quelle devra répondre Florent Bourgeois, et son équipe.
Ce procédé sera-t-il moins énergivore et répond-t-il à un enjeu environnemental ?
Ecoutez la réponse de Florent Bourgeois, professeur au sein du Laboratoire de Génie Chimie de Toulouse. Il est à la tête de ce projet.