Ce que le monde socio-économique attend du nouvel échiquier politique

Chérifa Linossier, Daniel Ochida, Christophe Coulson et David Meyer.
Au lendemain des provinciales, les acteurs économiques et sociaux de Nouvelle-Calédonie se font entendre. Patronat et syndicats de salariés ont tous des dossiers à défendre auprès des vainqueurs du scrutin.
[MISE À JOUR 23 MAI ]
Le temps des promesses électorales est passé, la réalité économique s'impose à tous. Patronat et syndicats de salariés connaissent bien les vainqueurs de ces provinciales. 
 

Medef et CPME

Pour le Medef présidé par Daniel Ochida, la victoire éclatante de l'Avenir en confiance est synonyme d'espoir. Côté patronat toujours, mais petites et moyennes entreprises, le ton est plus pragmatique: la CPME attend du concret.
 

«Fédé» et CFE-CGC

La Fédération des fonctionnaires et la CFE-CGC se rejoignent, elles, sur un point: pour le secteur public, elles attendent du nouvel exécutif qu'il mette en place le statut des contractuels. Forte de ses trois mille adhérents, la «Fédé» souhaite aussi défendre le pouvoir d'achat pour tous les Calédoniens, dont les fonctionnaires. Concernant le secteur privé, la CFE-CGC estime que la priorité économique, c'est aussi de relancer l'économie via le dossier nickel.
 

L’Usoenc prend acte

Le syndicat réagit aux élections provinciales une dizaine de jours après le scrutin. L’Usoenc, tout en réaffirmant son indépendance vis-à-vis de tous les partis politiques, explique dans le communiqué ci-dessous ce qu’il attend des nouveaux élus :  

Un sujet d'Isabelle Braouet, Laura Schintu et Brigitte Whaap.
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