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Sept contrôleurs ont visité le camp-est du 14 au 19 octobre dernier. Une visite qui a donné lieu au constat d’atteintes graves aux droits fondamentaux des personnes incarcérées dans l'établissement. À Paris, le CGLPL, le contrôleur général des lieux de privation de liberté, a ainsi mis en œuvre une procédure d’urgence pour le centre pénitentier de Nouméa. Dans le rapport publié ce jour, il fait état des conditions de vies déplorables des détenus ainsi que de l'insalubrité des lieux. Le constat reste le même qu’il y a huit ans, voire pire dans certains quartiers, malgré les mesures prises. Plus de 300 prisonniers supportent des conditions dégradantes.
Plus d'informations à venir.
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