Une délégation du Conseil économique, social et environnemental métropolitain est en visite en Nouvelle-Calédonie. Elle a présenté un rapport au gouvernement et à la Province Sud. Il regroupe plusieurs préconisations et tient compte des réflexions menées dans les Outre-mer pendant deux ans.
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Le but de ces préconisations est d’aboutir à une réflexion globale pour atteindre ce nouveau modèle touristique ultramarin.
Développer le tourisme durable n’est pas un sujet nouveau en Calédonie. Institutions, collectivités et populations locales ont, chacune à leur niveau, mis en place des mesures ou continuent de travailler pour limiter l’impact touristique. Des actions saluées par le CESE national. Dans son rapport de mars 2018, il propose six axes de développement.
« C’est d’abord de mettre le patrimoine culturel et naturel au cœur des stratégies du tourisme, parce que c’est çà qui nous permet de nous différencier. » explique Inès Bouchaut-Choisy est la présidente du groupe Outre-mer au sein du CESE national. « Il faut que nous puissions travailler ensemble, donc peut être mettre en place les forums stratégiques du tourisme durable pour mener justement cette réflexion commune. »
La Nouvelle-Calédonie a lancé cette réflexion lors des Ateliers du tourisme en avril dernier. L’idée : développer une stratégie à l’échelle du pays. Et cela passe notamment par la formation. C’est d’ailleurs le 4ème volet du rapport du CESE.
L’occasion pour le vice-président du gouvernement, Jean-Louis D’Anglebermes, de rappeler les spécificités calédoniennes : « Au niveau institutionnel, c’est que la compétence en matière de tourisme, elle est essentiellement déléguée aux Provinces, ainsi que le développement. Donc quand on parle de développement du tourisme, c’est aussi les Provinces. J’ai fait le lien avec le partage de compétences en matière de formation ».
« Lifou est confrontée justement à ce tourisme qui se développe d’une manière très rapide. » précise Daniel Cornaille, le président du CESE local. « Mais ils ont déjà pris eux des mesures très efficaces pour éviter la dégradation de l’environnement. »
Après Lifou, la délégation se rendra en province Nord. L’occasion pour elle d’échanger avec l’ensemble des acteurs locaux.
Développer le tourisme durable n’est pas un sujet nouveau en Calédonie. Institutions, collectivités et populations locales ont, chacune à leur niveau, mis en place des mesures ou continuent de travailler pour limiter l’impact touristique. Des actions saluées par le CESE national. Dans son rapport de mars 2018, il propose six axes de développement.
« C’est d’abord de mettre le patrimoine culturel et naturel au cœur des stratégies du tourisme, parce que c’est çà qui nous permet de nous différencier. » explique Inès Bouchaut-Choisy est la présidente du groupe Outre-mer au sein du CESE national. « Il faut que nous puissions travailler ensemble, donc peut être mettre en place les forums stratégiques du tourisme durable pour mener justement cette réflexion commune. »
Une stratégie à l’échelle pays
La Nouvelle-Calédonie a lancé cette réflexion lors des Ateliers du tourisme en avril dernier. L’idée : développer une stratégie à l’échelle du pays. Et cela passe notamment par la formation. C’est d’ailleurs le 4ème volet du rapport du CESE. L’occasion pour le vice-président du gouvernement, Jean-Louis D’Anglebermes, de rappeler les spécificités calédoniennes : « Au niveau institutionnel, c’est que la compétence en matière de tourisme, elle est essentiellement déléguée aux Provinces, ainsi que le développement. Donc quand on parle de développement du tourisme, c’est aussi les Provinces. J’ai fait le lien avec le partage de compétences en matière de formation ».
Le tourisme en milieu coutumier
L’approche touristique en milieu coutumier a également été abordée : l’impact de l’activité sur l’environnement, les tribus et la vie sociale. Une réalité que la délégation découvrait ce mardi à Lifou.« Lifou est confrontée justement à ce tourisme qui se développe d’une manière très rapide. » précise Daniel Cornaille, le président du CESE local. « Mais ils ont déjà pris eux des mesures très efficaces pour éviter la dégradation de l’environnement. »
Après Lifou, la délégation se rendra en province Nord. L’occasion pour elle d’échanger avec l’ensemble des acteurs locaux.
Saluer le travail des acteurs locaux
Depuis son arrivée, Inès Bouchaut-Choisy, rapporteur et présidente du groupe Outre-mer au sein du CESE national, a pu se rendre compte du travail mené par les acteurs locaux. Retrouvez ci-dessous la note de synthèse du rapport du CESE :Note de synthèse CESE "Promouvoir le tourisme durable dans les Outre-mer"