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La police néo-zélandaise a arrêté un homme de 19 ans. Il aurait proférer des menaces contre une des deux mosquées de Christchurch, attaquée un an auparavant par un suprématiste blanc australien. La police a d'ores et déjà augmenté les patrouilles aux abords des deux lieux de culte, Al-Nour et Linwood, d'ici au 15 mars, jour anniversaire de l'attaque. Les menaces contre la mosquée Al-Noor ont été publiées sur la messagerie Telegram. Des médias ont divulgué des photos d'un homme portant une cagoule et assis dans une voiture devant la mosquée, avec un texte menaçant et un émoji représentant un pistolet.
"Ce genre d'image n'a pas sa place en Nouvelle-Zélande. Elle est odieuse et ne sera pas tolérée", a déclaré dans un communiqué John Price, un des responsables de la police de Canterbury, la région où se trouve Christchurch. Le suspect, dont l'identité n'a pas été dévoilée, a été arrêté à la suite d'une descente de police à Christchurch.
Christchurch, la plus grande ville de l'île du Sud se prépare à commémorer mi-mars, le triste événement qui avait coûté la vie à 51 fidèles musulmans. Le tireur, l'Australien Brenton Tarrant, qui s'était filmé lors de la tuerie, doit être jugé à partir du 2 juin.
"Ce genre d'image n'a pas sa place en Nouvelle-Zélande. Elle est odieuse et ne sera pas tolérée", a déclaré dans un communiqué John Price, un des responsables de la police de Canterbury, la région où se trouve Christchurch. Le suspect, dont l'identité n'a pas été dévoilée, a été arrêté à la suite d'une descente de police à Christchurch.
Christchurch, la plus grande ville de l'île du Sud se prépare à commémorer mi-mars, le triste événement qui avait coûté la vie à 51 fidèles musulmans. Le tireur, l'Australien Brenton Tarrant, qui s'était filmé lors de la tuerie, doit être jugé à partir du 2 juin.