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Le patient en question a été évacué du Vanuatu vers le CHT Gaston Bourret pour des souffrances au niveau de sa hanche en mai 2014. Il s’agissait d’une infection de sa prothèse. Il a donc été opéré, un mois après son évacuation, pour changer cette prothèse. Cinq autres opérations suivront, toujours liées à des infections. Le patient a également dû être évacué en Métropole pour être soigné de ces infections.
A son retour, il décide de porter l’affaire devant le tribunal administratif. Selon lui, lors de sa première opération, il aurait contracté plusieurs bactéries, notamment un staphylocoque doré. Toujours selon le plaignant, le personnel soignant lui aurait prescrit durant son hospitalisation des anti-inflammatoires en contradiction avec son état de santé.
Pour le patient qui a aussi perdu son travail, le CHT doit réparer les préjudices subis.
Le CHT n’ayant pas fourni de preuve que les infections contractées viennent de l’extérieur, le rapporteur public a déduit que le centre hospitalier est en partie responsable. Le montant du préjudice subi est évalué à plus de 2 millions 300 mille francs CFP.
Le tribunal administratif rendra sa décision le 28 mars prochain.
A son retour, il décide de porter l’affaire devant le tribunal administratif. Selon lui, lors de sa première opération, il aurait contracté plusieurs bactéries, notamment un staphylocoque doré. Toujours selon le plaignant, le personnel soignant lui aurait prescrit durant son hospitalisation des anti-inflammatoires en contradiction avec son état de santé.
Pour le patient qui a aussi perdu son travail, le CHT doit réparer les préjudices subis.
Le CHT n’ayant pas fourni de preuve que les infections contractées viennent de l’extérieur, le rapporteur public a déduit que le centre hospitalier est en partie responsable. Le montant du préjudice subi est évalué à plus de 2 millions 300 mille francs CFP.
Le tribunal administratif rendra sa décision le 28 mars prochain.