Le colloque sur l’avenir institutionnel de la Calédonie s’est terminé ce samedi, à Nouméa. Une journée politique marquée par la présence de Jean-Jacques Urvoas et Dominique Bussereau. Les différents partis ont également pu livrer leur vision de l’après-référendum.
Dave Wahéo-Hnasson, Patrick Nicar et Jeannette Peteisi (F.T.) •
Etat associé, Etat fédéré, autonomie étendue, indépendance-partenariat, pleine souveraineté ? Ouvert vendredi matin, le colloque organisé dans l'amphithéâtre 400 de l'université a continué samedi à explorer les pistes pour construire l'avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie.
Urvoas et Bussereau pour commencer
L'ancien garde des sceaux Jean-Jacques Urvoas a ouvert cette deuxième et dernière journée. Avant de laisser parole à Dominique Bussereau, qui a présidé la mission d'information sur ce fameux avenir institutionnel.
Backès, Frogier, Gomès et Yanno se succèdent à la chaire
Les groupes politiques étaient également conviés à exposer leur vision respective. Leurs représentants se sont succédés autour d'une question: «Que faudrait-il changer dans l'organisation politique de la Nouvelle-Calédonie et dans les institutions calédoniennes?» Le reportage de Dave Wahéo-Hnasson et Patrick Nicar.
La non prise de parole des formations politiques a été regrettée à plusieurs reprises. Ecoutez le reportage de Jeannette Peteisi, dédié aux interventions des partis calédoniens.
L'exemple du Vanuatu ou de Fidji
Vendredi, c'est de transitions constitutionnelles et institutionnelles qu'il a été longuement question, en interrogeant l'exemple de différents pays. Le reportage de Dave Waheo-Hnasson et Patrick Nicar. Avec Morsen Mosses, docteur en droit public au Vanuatu, et Steven Ratuva, professeur de sociologie en Nouvelle-Zélande.
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