Après le tollé provoqué il y a 10 jours sur le marché aux crabes de Farino, vide de crustacés à cause de l’intervention des gardes natures selon les organisateurs, le président de la province Sud a tenu à réagir.
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Il y a une dizaine de jours, des centaines de personnes s'étaient déplacées à Farino pour acheter du crabe. Mais déception, il n'y avait pas de crustacés sur les étals. Selon les organisateurs, cette décision émanerait du service de l’environnement de la province Sud. La règlementation imposerait à tous les vendeurs de crabes de prendre une patente.
Pour Phlippe Michel, le président de la province Sud, aucun garde-nature provincial n’est intervenu sur le marché de Farino pour contrôler les conditions de commercialisation des crabes. Cette mission ne relève d’ailleurs pas des attributions de la province, mais de la compétence de la Nouvelle-Calédonie. Il ajoute que le code de l’environnement de la province stipule que les produits de la pêche de plaisance sont destinés à la consommation exclusive des plaisanciers et de leur entourage, ce qui signifie que seuls les pêcheurs professionnels sont autorisés à commercialiser le produit de leur pêche. Cette réglementation, qui n’a jamais changé, a pour objectif de préserver la ressource.
Depuis l’existence du marché il y a 30 ans, la vente des crabes génère des petits revenus pour les femmes des tribus, principales concernées par la pêche de ce crustacé.
Pour Phlippe Michel, le président de la province Sud, aucun garde-nature provincial n’est intervenu sur le marché de Farino pour contrôler les conditions de commercialisation des crabes. Cette mission ne relève d’ailleurs pas des attributions de la province, mais de la compétence de la Nouvelle-Calédonie. Il ajoute que le code de l’environnement de la province stipule que les produits de la pêche de plaisance sont destinés à la consommation exclusive des plaisanciers et de leur entourage, ce qui signifie que seuls les pêcheurs professionnels sont autorisés à commercialiser le produit de leur pêche. Cette réglementation, qui n’a jamais changé, a pour objectif de préserver la ressource.
Depuis l’existence du marché il y a 30 ans, la vente des crabes génère des petits revenus pour les femmes des tribus, principales concernées par la pêche de ce crustacé.