A l’entrée du dépotoir, de nombreux bacs déjà présents, ont été installés afin de permettre à la population de jeter leurs déchets. Les accès directs ont eux, été fermés aux publics. Incommodés par les fumées toxiques, les administrés découvrent avec surprises les panneaux d’interdiction.
A l’intérieur du dépotoir, les pompiers de Koné sont à pieds d’œuvres depuis le 1er janvier. Une dizaine d’homme et de femme sont mobilisés. Ils ont ainsi réussi à réduire le volume des fumées, sans pour autant circonscrire la combustion sous terre. La tâche est rude malgré les moyens imposants qui ont été mis en place.
Des tonnes d’eaux seront versées dans les tranchés. L’objectif étant pour les soldats de feux de noyer l’incendie. Le risque est grand. D’autant plus que des explosions ont eu lieu sur le site.
Cet évènement n'empêche en rien les rotations des services de collectes dans la commune. Les déchets sont déposé sur le dépotoir de Pindai à Pouembout. En attendant, sur le front, les sapeurs pompiers espèrent au plus vite un rétablissement de la situation
A l’intérieur du dépotoir, les pompiers de Koné sont à pieds d’œuvres depuis le 1er janvier. Une dizaine d’homme et de femme sont mobilisés. Ils ont ainsi réussi à réduire le volume des fumées, sans pour autant circonscrire la combustion sous terre. La tâche est rude malgré les moyens imposants qui ont été mis en place.
Des tonnes d’eaux seront versées dans les tranchés. L’objectif étant pour les soldats de feux de noyer l’incendie. Le risque est grand. D’autant plus que des explosions ont eu lieu sur le site.
Cet évènement n'empêche en rien les rotations des services de collectes dans la commune. Les déchets sont déposé sur le dépotoir de Pindai à Pouembout. En attendant, sur le front, les sapeurs pompiers espèrent au plus vite un rétablissement de la situation