Mesures contre le covid-19 obligent, les discothèques resteront fermées les six prochaines semaines, selon les directives des autorités. Six professionnels ont rencontré le gouvernement, ce mercredi matin, pour évoquer l'avenir de ce secteur pénalisé.
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Les dance floor des discothèques sont déserts depuis la fermeture, le 19 mars, des établissements de nuits. Chiffre d'affaires inexistant, personnel au chômage partiel... Une situation financière critique pour tous les acteurs du secteur, qui dénoncent les différenciations faites dans les réglementations, entre les bars et discothèques.
« Sur les bars de nuit, la capacité de cinquante personnes a été levée donc on peut accueillir plus de monde, indique Elisa Pulpito, gérante d'un établissement de nuit de Nouméa. Sur l’horaire, on nous a dit « minuit » pour la fermeture des bars mais rien n'est encore fixé et ensuite, pour les discothèques -le point le plus important pour nous-, c’était de savoir pourquoi on ne pouvait pas ouvrir alors que certaines soirées privées étaient autorisées dans d’autres espaces. Là, en effet, le gouvernement a été compréhensif et nous a dit revenir vers nous rapidement pour nous apporter une réponse et éventuellement une réouverture des discothèques plus tôt que prévu. »
« Sur les bars de nuit, la capacité de cinquante personnes a été levée donc on peut accueillir plus de monde, indique Elisa Pulpito, gérante d'un établissement de nuit de Nouméa. Sur l’horaire, on nous a dit « minuit » pour la fermeture des bars mais rien n'est encore fixé et ensuite, pour les discothèques -le point le plus important pour nous-, c’était de savoir pourquoi on ne pouvait pas ouvrir alors que certaines soirées privées étaient autorisées dans d’autres espaces. Là, en effet, le gouvernement a été compréhensif et nous a dit revenir vers nous rapidement pour nous apporter une réponse et éventuellement une réouverture des discothèques plus tôt que prévu. »