Assurer la sécurité des commerces, conseiller les professionnels contre les risques d’effraction… c’est désormais la mission du référent de la gendarmerie en matière de sécurité dans les commerces. Un véritable besoin après la vague de cambriolages survenue ces dernières semaines.
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Diagnostiquer la sûreté de son magasin par un référent de la gendarmerie ou de la police nationale, c’est une possibilité désormais offerte aux commerçants. Ils peuvent en faire la demande à la Chambre de Commerce et de l’Industrie (CCI), ou dans la brigade ou le commissariat dont ils dépendent.
Mercredi, une consultation était menée dans une vinothèque exposée aux tentatives d’intrusion à Dumbéa-sur-Mer. Jean-Louis Barré est l’unique référent sûreté de la gendarmerie nationale. Dans chaque magasin qui le sollicite, il vient dresser un bilan de la sûreté des locaux, des installations à envisager, et des comportements à adopter. Dans cette winerie, les tentatives d’infractions ont échoué. Le matériel utilisé pour protéger la devanture est efficace. Julien, le co-gérant, veut cependant être à l’écoute de nouvelles idées.
Améliorer la sûreté, c’est réfléchir aux éléments extérieurs à son magasin qui peuvent servir aux potentiels voleurs. C’est acheter du matériel pouvant supporter une certaine puissance de choc. Mais c’est aussi créer un réseau d’alerte avec les commerçants alentours. Autant de réflexions qui seront posées lors d’une réunion grand public ouvertes aux propriétaires de magasin le mois prochain. Une autre réunion est prévue le 19 avril à Koné.
Le reportage audio de Martin Charmasson
Mercredi, une consultation était menée dans une vinothèque exposée aux tentatives d’intrusion à Dumbéa-sur-Mer. Jean-Louis Barré est l’unique référent sûreté de la gendarmerie nationale. Dans chaque magasin qui le sollicite, il vient dresser un bilan de la sûreté des locaux, des installations à envisager, et des comportements à adopter. Dans cette winerie, les tentatives d’infractions ont échoué. Le matériel utilisé pour protéger la devanture est efficace. Julien, le co-gérant, veut cependant être à l’écoute de nouvelles idées.
Améliorer la sûreté, c’est réfléchir aux éléments extérieurs à son magasin qui peuvent servir aux potentiels voleurs. C’est acheter du matériel pouvant supporter une certaine puissance de choc. Mais c’est aussi créer un réseau d’alerte avec les commerçants alentours. Autant de réflexions qui seront posées lors d’une réunion grand public ouvertes aux propriétaires de magasin le mois prochain. Une autre réunion est prévue le 19 avril à Koné.
Le reportage audio de Martin Charmasson