11 jours après sa sortie en métropole, le film "Dilili à Paris" ne remplit pas les salles calédoniennes. Pourtant ce long métrage d'animation de Michel Ocelot remporte un franc succès sur l'hexagone.
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En Métropole, il est dans le peloton de tête du box-office. Sur le Caillou, il passe inaperçu. A l’affiche depuis bientôt deux semaines, « Dilili à Paris », le nouveau film d’animation de Michel Ocelot, le créateur de Kirikou, n’attire pas les foules.
C’est pourtant la première fois qu’une petite kanak est l’héroïne d’un dessin animé français.
Une petite fille qui mène l’enquête tambour battant, dans le Paris de la Belle époque, sur la trace de kidnappeurs de fillettes.Un petit tour dans les salles obscures calédoniennes à présent, où « Dilili à Paris », le nouveau film d’animation de Michel Ocelot, le réalisateur de Kirikou, ne fait pas recette, contrairement à la Métropole.
Si le film se révèle un peu difficile d’accès pour les plus jeunes enfants, les rares spectateurs présents dans la salle se montrent plutôt enthousiastes, juste après la projection.
Reportage Caroline Antic-Martin et Michel Bouilliez
C’est pourtant la première fois qu’une petite kanak est l’héroïne d’un dessin animé français.
Une petite fille qui mène l’enquête tambour battant, dans le Paris de la Belle époque, sur la trace de kidnappeurs de fillettes.Un petit tour dans les salles obscures calédoniennes à présent, où « Dilili à Paris », le nouveau film d’animation de Michel Ocelot, le réalisateur de Kirikou, ne fait pas recette, contrairement à la Métropole.
Si le film se révèle un peu difficile d’accès pour les plus jeunes enfants, les rares spectateurs présents dans la salle se montrent plutôt enthousiastes, juste après la projection.
Reportage Caroline Antic-Martin et Michel Bouilliez
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