L'enquête lancée par la Province Sud auprès de la jeunesse, notamment le questionnaire sur la sexualité a été dénoncé par le Rassemblement les Républicains qui l'a jugé indécent.
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Sur 170 questions, une dizaine est consacrée au sexe sur l’enquête qu’a été lancée en Avril par la province Sud. 3 mois après, le Rassemblement-Les Républicains s’insurge.
Ce questionnaire fait par les jeunes pour des jeunes de 16 à 35 ans, doit permettre de mieux répondre à leurs attentes, explique Joane Paidi, chargée de mission jeunesse à la Province Sud.Joane Paidi, chargée de mission jeunesse à la Province Sud, elle répondait à Malia-Losa Falelavaki
Parmi les questions, as-tu déjà pratiqué la masturbation ou un plan cul , c’est quoi pour toi ?
La province sud justifie ses choix. Elle s’appuie sur des enquêtes internationales.
A la question "utilises-tu des sex toys", l’un des ambassadeurs de l’enquête, argumente ce choix délibéré.
Reportage Karine Arroyo et Carawiane Carawiane
Répertorier les préoccupations des jeunes passent par leur réalité. Réseaux sociaux, comme snapchat, instagram ou sites pornographiques en un clic. Le questionnaire propose, celui qui répond dispose.
L’enquête se veut être aussi une soupape au tabou que représenterait le sexe alors qu’il est à portée de clic pour tous, mais sans le filtre indispensable de la parole.
Viols sous l’emprise de drogues, grossesses non désirées, addiction au porno font malheureusement partie du paysage de nos adolescents sur tout le territoire qu’on veuille le voir ou pas.
Ce questionnaire fait par les jeunes pour des jeunes de 16 à 35 ans, doit permettre de mieux répondre à leurs attentes, explique Joane Paidi, chargée de mission jeunesse à la Province Sud.Joane Paidi, chargée de mission jeunesse à la Province Sud, elle répondait à Malia-Losa Falelavaki
3 500 jeunes ont déjà répondu aux questionnaires
Parmi les questions, as-tu déjà pratiqué la masturbation ou un plan cul , c’est quoi pour toi ?
La province sud justifie ses choix. Elle s’appuie sur des enquêtes internationales.
A la question "utilises-tu des sex toys", l’un des ambassadeurs de l’enquête, argumente ce choix délibéré.
Reportage Karine Arroyo et Carawiane Carawiane
Répertorier les préoccupations des jeunes passent par leur réalité. Réseaux sociaux, comme snapchat, instagram ou sites pornographiques en un clic. Le questionnaire propose, celui qui répond dispose.
L’enquête se veut être aussi une soupape au tabou que représenterait le sexe alors qu’il est à portée de clic pour tous, mais sans le filtre indispensable de la parole.
Viols sous l’emprise de drogues, grossesses non désirées, addiction au porno font malheureusement partie du paysage de nos adolescents sur tout le territoire qu’on veuille le voir ou pas.