Evadé le matin, retrouvé saoul le soir

L’histoire est apparue vendredi après-midi, sur la page Facebook de la police nationale: celle d’une évasion qui n’a pas duré bien longtemps. 
L’alerte est donnée jeudi en fin de matinée. Un détenu qui travaille à l'atelier du Camp-Est a pris la poudre d’escampette. Le dispositif déployé dans un premier temps ne donne rien. Puis, après «recoupements», le trentenaire est retrouvé à Dumbéa, saoul, vers le fast-food de Koutio Kenu In.
 

Il était libérable en juillet

Il est interpellé dans la soirée et placé en cellule de dégrisement, avant d’être mis en garde à vue pour évasion. «Cet homme, né en 1988 et incarcéré depuis avril 2018 pour infractions à la législation sur les stupéfiants, tentative de vol et infractions routières était libérable en juillet 2019», précise la PN.