Les femmes à l'honneur du 4 au 10 mars

Sononefa Courtier dans "Histoire d'elles"
La chaîne met en avant les femmes calédoniennes à travers des portraits, des entretiens, des documentaires. On vous donne le programme...

Des reportages dans le 19h30 -TV

toute la semaine
 


Des articles sur le site

 


Histoires d'elles-TV

Du lundi au vendredi à 19h25

Dans le cadre de la journée internationale des droits de la femme, Nouvelle-Calédonie la 1ère propose de découvrir le parcours de 4 femmes d'horizons différents :
Kiara Mediara, jeune femme transsexuelle de 23 ans originaire de la tribu de Oui Poin à La Foa. Elle compte reprendre le gîte "Chez Elise" que tient sa grand-mère depuis plusieurs années, tout en imposant, avec respect et humilité, son identité au sein de la tribu.

Rose Wélépa, athlète de haut niveau du pôle France handisport, championne de sa catégorie en lancer de poids, javelot et disque, âgée de 34 ans. Rose est déficiente visuel depuis son plus jeune âge, ce qui ne l'a pas empêché de se lancer dans le sport en compétition. Elle l'avoue : elle n'est entourée que de garçons. Elle incite donc les jeunes femmes, en situation de handicap ou non, de se lancer dans le sport et promouvoir ainsi l'égalité pour tous.


Amandine Darras, jeune femme originaire de Bourail, s'investit pleinement dans des actions éco-citoyennes. A travers l'association Bwé Dï, elle partage ses projets avec les jeunes de la commune grâce à leurs professeurs, mais aussi en tribu. 

Sononefa Courtier, directrice d'une agence bancaire sur Nouméa, cette femme d'origine wallisienne partage avec nous sa vision de la femme d'aujourd'hui : une femme dont le quotidien est plutôt chargé, avec à la fois un poste à responsabilités et une famille à gérer.


Joanna Read, originaire de Lifou, est revenue en Nouvelle-Calédonie en 2013, après avoir obtenu son diplôme de médecin. En toute humilité, elle partagera avec nous l'exercice de son métier en tant que femme kanak. Que dira t-elle pour encourager les Calédoniennes à suivre son chemin ? 



Figures de femmes, Totem des Outre-mer -TV

Mardi 5 mars à 21h50
Femmes Totem de la musique des Outre-mer, ambassadrices de culture et étendards d'une bannière patrimoniale : 
Jocelyne Béroard, Tanya St-Val, Sylviane Cédia, Christine Salem et Tyssia investissent le Grand Rex à Paris. Originaires de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Martinique, de la Réunion ou encore de la Nouvelle-Calédonie, elles s’emparent de la scène de cet antre d'excellence culturelle, pour célébrer et réinterpréter les plus belles chansons du patrimoine. Artistes emblématiques de la diversité de la culture française, elles sont ces chantres féminines, ces voix au delà des mers qui déclament si bien la culture française dans son pluralisme. Un concert également marqué par la présente d’invitées prestigieuses à l’image de Lisa Simone, Rokia Traoré et Emeline Michel, qui offriront au public de sublimes duos pleins de magie et de douceur.
Figures de Femmes des Outre-mer (FFOM) est né de la rencontre de personnalités intellectuelles, politiques, artistiques et du monde associatif aux talents et aux compétences divers et variés. Leur volonté : réfléchir, contribuer et participer par toutes sortes d’actions au débat public sur toutes les questions relatives aux Outre-mer. En mars dernier, l'association Couleurs Karayb présentait le deuxième volet de "Figures de femmes Totem d’Outre mer" en organisant trois événements à Paris pour mettre en lumière les femmes artistes et intellectuelles ultramarines, dont ce spectacle au Grand Rex. 


Terre passion -RADIO

Mercredi 6 mars à 18h00

avec Marie-France Michel, de la société de Saint-Vincent de Paul en Nouvelle-Calédonie, l'occasion de revenir sur le parcours d'une femme au service des autres.
 

Un café avec vous -RADIO

est consacré aux femmes jeudi et vendredi : Nicolas Bounab les surprendra au pied du lit :)

Histoire d'Outre-mer - "Les 30 Courageuses de La Réunion, une affaire oubliée" -TV

Jeudi 7 mars à 21h00

Comment des milliers d’avortements et de stérilisations ont-ils eu lieu à la Réunion dans les années 1960, parfois sans le consentement des femmes concernées ?
Un demi-siècle après les faits, ce film mène une enquête sur la politique antinataliste pratiquée à l’époque par l’État sur l’île de La Réunion. Alors qu’en métropole avorter est passible de prison, à La Réunion des avortements se pratiquent à la chaîne, souvent suivis de stérilisation sans consentement. Trente victimes, femmes de milieu modeste, ont eu le courage de porter plainte contre ces hommes puissants.
En 1970 à La Réunion, cinq ans avant la loi Veil, on découvre que des milliers de femmes ont été avortées et stérilisées, parfois sans leur consentement, par des médecins qui ont prétexté d’autres opérations pour obtenir les remboursements de la Sécurité sociale. Derrière ces actes illégaux et frauduleux se cache une véritable politique anti-nataliste, soutenue par les représentants de l’État français dans les Outre-mer.
À travers une grande enquête, ce film raconte comment des faits aussi graves ont pu se produire sans provoquer un réel scandale au niveau national, comment on s’est empressé de classer cette affaire, comment on ne s’est jamais préoccupé de ce qui est arrivé à certaines femmes mutilées dont les vies ont été changées à jamais.
Les 30 Courageuses de la Réunion, une affaire oubliée — 70 min — Production : Les films du cygne, avec la participation de France Télévisions  — Jamila Buzkova — 2018
 


"Des femmes à l'honneur" (Documentaire) -TV

Jeudi 7 mars à 23h00

Au coeur de l'océan Indien, l’île de la Réunion révèle chaque année ses paysages à l’occasion d’un des trials les plus durs au monde : le Grand Raid. Si cette compétition n’est plus à présenter, rappelons qu’elle traverse l’île de Saint-Philippe à Saint-Denis, à travers 170 kilomètres de sentier. La tâche est de plus en plus ardue car le parcours s’allonge au fil des éditions et le dénivelé s’accroît en conséquent.
Chaque année, 3.000 adeptes prennent le départ dans l’idée de franchir la ligne d’arrivée. Les plus rapides mettront une vingtaine d’heures, les plus lents passeront 3 jours et 3 nuits dans les reliefs de l’île à se battre contre les douleurs et la fatigue. 
Depuis toujours les hommes sont à l’honneur dans cette course. Leur performance étonne et force l'admiration. Mais rares sont les documentaires consacrés aux femmes engagées dans la course. Ces à ces femmes de l’ombre que ce film s'intéresse. Celles qui sont là depuis le début ; celles qui ont décidé de tout "plaquer" pour courir ; celles qui ont maintenu un quotidien très actif et qui s’organisent le soir ou le matin très tôt pour affûter leur physique ; celles qui sont nées dans la montagne et pour qui courir c’est "comme respirer" ou bien encore celles qui découvrent l’épreuve pour la première fois et qui ne savent pas trop comment s’y prendre !
Réalisé par  Franck Grangette — Productions : Grand Angle et Gad, avec la participation de France Télévisions —2017 — 52'


Concert de Nayrouz -TV

Endémix live donne la part belle à un groupe exclusivement féminin et originaire de Lifou.
Le groupe NAYROUZ fut fondé en 2011 par les filles de Xodre qui voulaient, sur les traces des Mikes (années 1980) et du groupe Oriatal (années 2000), apporter leur pierre, leurs plumes et leurs voix à l’édifice. Trio vocal à l’origine, Nayrouz a accueilli depuis bien d’autres voix, d’autres inspirations pour façonner, ensemble, un Kanéka qui va à la rencontre du reggae, de la soul ou encore de la variété française.

Sur la natte -RADIO

Vendredi 8 mars à 15h00
avec la gérante d'un gîte à Poya dont le chemin a été celui d'une combattante pour mettre en place son entreprise au sein d'une tribu.

Aller-retour -RADIO

le mag du vendredi 8 mars à 12h15 est consacrée à des femmes calédoniennes qui sont allées s'installer en Nouvelle-Zélande.


Dans les pas des survivantes -TV

Dimanche 10 mars à 18h30
L'émission revient toujours avec ce souci de partager le quotidien de Calédoniens qui ne sont pas dans la lumière, focus sur les problématiques de la condition féminine.
Portraits croisés de trois calédoniennes qui se sont battues ou se battent pour faire face à la maladie, à la violence conjugale ou encore au rejet de leur tribu.