Pour la fête des mères, quoi de mieux que d'offrir un bouquet de fleurs. L'événement est important pour les producteurs mais aussi pour les fleuristes qui voient leur chiffre d'affaires augmenter grâce à cette journée.
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Pour cette fête des mères, les Calédoniens dépassent sans compter. En moyenne, les compositions florales coûtent 6 000 francs CFP.
« On a pris des orchidées. C’est ses fleurs préférées, en plus, elle en a dans son jardin » explique une cliente.
Pour cet autre, la fête des mères, « c’est un moment de partage. C’est aussi pour montrer à nos parents qu’on pense à eux, qu’on a envie de leur faire plaisir. C’est l’occasion de faire un beau cadeau ».
« Ça marche bien, on a de la chance, on a eu de très belles fleurs locales. Malgré la météo qu’on a eue, nos producteurs ont vraiment géré, ils nous ont sorti vraiment de très jolies fleurs » explique Aurélie Guillaume, fleuriste à Dumbéa. « On a eu un tout petit peu de fleurs qui sont arrivées notamment de Métropole. Ça nous permet d’avoir quand même une variété de fleurs et de pouvoir faire des bouquets bien complets et variés ».
L’événement est important pour ces professionnels qui ont été confrontés à la crise sanitaire et à la fermeture de leur local durant un mois de confinement.
« En ce moment, c’est de la rose, comme d’habitude, c’est toujours le produit phare. Mais là, cette année, comme on a eu des difficultés avec le Covid, on fait au mieux » explique Aymerick Roux, aide-journalier. « Quand on n’a pas de roses, on essaie de remplacer par autre chose. Orchidées, anthuriums, gerberas… »
« Ça a permis de relancer quand même un peu leur activité qui a été ralentie ces derniers temps » explique ce client.
Très rapidement, les stock sont épuisés ; sur les étagères, il reste les commandes en attente d’être livrées.
« Ça n’arrête pas depuis hier et je pense que pour l’économie, c’est bien que ça reprenne » confie Françoise Lepori, aide-journalière. « Et puis je crois que les gens ont tellement été frustrés pendant quelques temps qu’ils ont envie d’offrir, de faire plaisir, donc ça, c’est une bonne chose ».
Cet événement est une aubaine pour ces professionnels qui ont souffert de l’absence de muguet au mois de mai.
En ce dimanche de fête des mères, certains professionnels sont restés ouverts jusqu’à tard dans la journée.
Le reportage de Natacha Lassauce-Cognard et Gaël Detcheverry
« On a pris des orchidées. C’est ses fleurs préférées, en plus, elle en a dans son jardin » explique une cliente.
Pour cet autre, la fête des mères, « c’est un moment de partage. C’est aussi pour montrer à nos parents qu’on pense à eux, qu’on a envie de leur faire plaisir. C’est l’occasion de faire un beau cadeau ».
« De très belles fleurs locales »
Dans ce commerce de Dumbéa, la fête des mères représente près de 25 % du chiffre d’affaires annuel. Plusieurs centaines de bouquets de fleurs sont confectionnés pour l’occasion, beaucoup plus que pour la St Valentin.« Ça marche bien, on a de la chance, on a eu de très belles fleurs locales. Malgré la météo qu’on a eue, nos producteurs ont vraiment géré, ils nous ont sorti vraiment de très jolies fleurs » explique Aurélie Guillaume, fleuriste à Dumbéa. « On a eu un tout petit peu de fleurs qui sont arrivées notamment de Métropole. Ça nous permet d’avoir quand même une variété de fleurs et de pouvoir faire des bouquets bien complets et variés ».
L’événement est important pour ces professionnels qui ont été confrontés à la crise sanitaire et à la fermeture de leur local durant un mois de confinement.
« En ce moment, c’est de la rose, comme d’habitude, c’est toujours le produit phare. Mais là, cette année, comme on a eu des difficultés avec le Covid, on fait au mieux » explique Aymerick Roux, aide-journalier. « Quand on n’a pas de roses, on essaie de remplacer par autre chose. Orchidées, anthuriums, gerberas… »
« C’est bien que ça reprenne »
Chez cette fleuriste de Nouméa, même constat : les clients se pressent pour acheter des bouquets.« Ça a permis de relancer quand même un peu leur activité qui a été ralentie ces derniers temps » explique ce client.
Très rapidement, les stock sont épuisés ; sur les étagères, il reste les commandes en attente d’être livrées.
« Ça n’arrête pas depuis hier et je pense que pour l’économie, c’est bien que ça reprenne » confie Françoise Lepori, aide-journalière. « Et puis je crois que les gens ont tellement été frustrés pendant quelques temps qu’ils ont envie d’offrir, de faire plaisir, donc ça, c’est une bonne chose ».
Cet événement est une aubaine pour ces professionnels qui ont souffert de l’absence de muguet au mois de mai.
En ce dimanche de fête des mères, certains professionnels sont restés ouverts jusqu’à tard dans la journée.
Le reportage de Natacha Lassauce-Cognard et Gaël Detcheverry