Le feuilleton de la semaine : la Foire de Bourail

Ce chevreau est né dans l'élevage d'Olivier Claude quelques jours avant la Foire.
La Foire de Bourail a nourri notre feuilleton de la semaine. Plus précisément les femmes et les hommes qui font sa richesse. Des reportages de Nadine Goapana, Nicolas Fasquel et Cédric Michaut, sur un montage de Cédric Desbois, Fabien Laubry et Laurent Chenas.

#1. Monsieur rodéo

Au grand rodéo, il y aura «un plateau de qualité» et «le spectacle sera assuré». C’est Laurent Moglia qui l’a dit à quelques jours de la quarantaine Foire de Bourail. Ce passionné de cheval, propriétaire d’une écurie, sait de quoi il parle : il fait partie de l’organisation en ce qui concerne les jeux équestres et le rodéo. Avec même un pied dans le carré.
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#2. Rendez-vous avec Simone

«Il faut être présent», dit-elle, et pas seulement pour mettre du beurre dans les épinards: Simone Bodeouarou, Bouraillaise passionnée d’horticulture, se fait un point d’honneur d’exposer à la Foire ses plantes vertes, ses ignames et ses petits haricots.
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#3. La filière ovine et caprine

L’une des chèvres génétiquement renouvelées d’Olivier Claude lui a donné des triplés juste avant l’événement. Ce retraité éleveur élève sur la commune 21 femelles de race Boer et cinq mâles, importés de Nouvelle-Zélande. 
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#4. Le temps des fondateurs

«La première foire, on a été submergés», raconte Jean-Pierre Taïeb Aïfa. Quand la Foire de Bourail apparaît, en 1977, le précédent événement de cette envergure date d’un siècle plus tôt. La naissance de ce nouveau rendez-vous ne va pas de soi. Mais le succès arrive de suite. Et résiste aux épreuves.