La Calédonie où règne le cheval a perdu l’un de ses fervents admirateurs. Gabriel Lecourieux est décédé le samedi 27 mai, au Médipôle, à 89 ans. Un homme reconnu comme d’excellent conseil en matière de bétail et de cheval, notamment de généalogie équine.
Les chevaux, il les chérissait dans tous les contextes : «Gaby le stockman» fréquentait les hippodromes comme les compétitions de saut d’obstacles ou d’équitation western.
Gabriel Lecourieux, qui a grandi à Païta, a été chauffeur de bus, puis longtemps chef de quart à la SLN. Surtout, de 55 à 83 ans, il a travaillé comme stockman dans les stations Mouledous, à La Tamoa, puis Clemen, à Boulouparis. Et s’il a cessé de cavaler, c’est parce que ses genoux le faisaient trop souffrir.
Un homme dont le journaliste Michel Quemener disait en 2002 : « Il est d’une autre époque, il est d’une autre trempe. » C'était dans le long reportage qui lui était consacré dans le premier Océanie Mag, sur des images de Roger Dosdane. Une veillée aura lieu ce lundi 29 mai, de 15 heures à 20 heures, au centre funéraire de Nouméa, avant la levée du corps mardi à 8 heures.
A la station Clemen de Boulouparis
Les chevaux, il les chérissait dans tous les contextes : «Gaby le stockman» fréquentait les hippodromes comme les compétitions de saut d’obstacles ou d’équitation western. Gabriel Lecourieux, qui a grandi à Païta, a été chauffeur de bus, puis longtemps chef de quart à la SLN. Surtout, de 55 à 83 ans, il a travaillé comme stockman dans les stations Mouledous, à La Tamoa, puis Clemen, à Boulouparis. Et s’il a cessé de cavaler, c’est parce que ses genoux le faisaient trop souffrir.
Un homme dont le journaliste Michel Quemener disait en 2002 : « Il est d’une autre époque, il est d’une autre trempe. » C'était dans le long reportage qui lui était consacré dans le premier Océanie Mag, sur des images de Roger Dosdane. Une veillée aura lieu ce lundi 29 mai, de 15 heures à 20 heures, au centre funéraire de Nouméa, avant la levée du corps mardi à 8 heures.