Un copier-coller du rapport de l’IGAS pour entamer au plus vite la réforme du système de santé calédonien, c'est la proposition du gouvernement avec un premier projet de texte sur la gouvernance. La délibération sera soumise au Congrès de la Nouvelle-Calédonie prochainement.
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Devant l’importance du dossier, il devenait urgent pour le gouvernement de réorganiser en profondeur le système de protection sociale et de santé de la Nouvelle-Calédonie. Ainsi, les recommandations du rapport de l’Igas, l’inspection générale des affaires sociales, présentées il y a deux semaines, ont été prises en compte dans leur ensemble. Cette délibération cadre propose un nouveau modèle de gouvernance où les missions des principaux acteurs sont redéfinies. Objectif : mettre de l’ordre.
Philippe Germain, le président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie
Pour le gouvernement, ce rapport est en quelque sorte une feuille de route. Son adoption doit se faire dans les plus brefs délais, soit dans les deux ans à venir afin de mettre en place l’ensemble des réformes du plan « Do Kamo » et la gouvernance. Sur ce dernier point, trois niveaux stratégiques doivent être finalisés.
Cette délibération cadre sera présentée prochainement devant le Congrès. Il est prévu notamment la création d’un fond de régularisation, sorte de matelas financier pour permettre de soutenir les régimes déficitaires. Mais le temps presse, le gouvernement espère que les échéances électorales ne seront pas pas un frein à ce grand chantier du système de santé calédonien.
Philippe Germain, le président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie
Pour le gouvernement, ce rapport est en quelque sorte une feuille de route. Son adoption doit se faire dans les plus brefs délais, soit dans les deux ans à venir afin de mettre en place l’ensemble des réformes du plan « Do Kamo » et la gouvernance. Sur ce dernier point, trois niveaux stratégiques doivent être finalisés.
Cette délibération cadre sera présentée prochainement devant le Congrès. Il est prévu notamment la création d’un fond de régularisation, sorte de matelas financier pour permettre de soutenir les régimes déficitaires. Mais le temps presse, le gouvernement espère que les échéances électorales ne seront pas pas un frein à ce grand chantier du système de santé calédonien.