La coupe du monde des clubs débute dans un peu plus d'un mois à Doha au Qatar. Hienghène Sports, le représentant de l’Océanie s’apprête à vivre un grand moment. Un mondial des clubs face à l’équipe d’Al Sadd, entrainée par Xavi Hernandez, ancienne star du FC Barcelone.
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Le 11 décembre prochain à Doha au Qatar, Hienghène Sports, la Nouvelle-Calédonie et l’Océanie vont vivre ensemble un évènement exceptionnel, la Coupe du monde des clubs.
Nos Cagous affronteront en match de barrage de la compétition, l’équipe d’Al Sadd, championne en titre du Qatar.
« On est en fin de saison, il y a la fatigue, il y a les blessures qui s’accumulent et il ne faut pas que l’échéance soit plus forte que le raisonnement de la préparation au niveau des matchs à venir qui sont des matchs de haut niveau » confie Félix Tagawa, l’entraineur de Hienghène Sport. « Mais les joueurs ne sont pas des robots. On fait attention. Aujourd’hui, les entraînements, c’est que de l’entretien. C’est vrai qu’on approfondit au niveau du sens tactique, qu’il va falloir allier vitesse et puissance comme il faudra et le travail psychologique va beaucoup jouer. Il ne faut pas que, par rapport à l’enjeu, on se fasse emporter et qu’on fasse n’importe quoi et derrière, on n’a plus de force pour affronter des équipes d’un très très bon niveau ».
A partir du moment où l’on met de la bonne volonté, les joueurs sont là, les dirigeants sont là et puis on peut arriver à des résultats, rien n’est impossible, il faut avoir la volonté.
Nos Cagous affronteront en match de barrage de la compétition, l’équipe d’Al Sadd, championne en titre du Qatar.
Un travail psychologique
Les joueurs de Hienghène sont donc en plein préparation.« On est en fin de saison, il y a la fatigue, il y a les blessures qui s’accumulent et il ne faut pas que l’échéance soit plus forte que le raisonnement de la préparation au niveau des matchs à venir qui sont des matchs de haut niveau » confie Félix Tagawa, l’entraineur de Hienghène Sport. « Mais les joueurs ne sont pas des robots. On fait attention. Aujourd’hui, les entraînements, c’est que de l’entretien. C’est vrai qu’on approfondit au niveau du sens tactique, qu’il va falloir allier vitesse et puissance comme il faudra et le travail psychologique va beaucoup jouer. Il ne faut pas que, par rapport à l’enjeu, on se fasse emporter et qu’on fasse n’importe quoi et derrière, on n’a plus de force pour affronter des équipes d’un très très bon niveau ».
La volonté des joueurs
« Le fait d’avoir gagné cette coupe de l’Océanie leur a ouvert les yeux et de se dire voilà, les potentialités qu’on a et puis si l’on travaille davantage, on peut aller encore plus loin », explique de son côté Jean-Pierre Djaïwé, le président de Hienghène Sports. « C’est le travail, c’est la volonté des joueurs, parce que nous avons cette particularité que l’équille est éparpillée sur l’ensemble du pays. Il y a des gens qui sont sur Hienghène, il y en a d’autres sur Koné, d’autres sur Nouméa, donc c’est difficile de se retrouver pour des entraînements ensemble. Et une des principales raisons qui emmènent à ce résultat, c’est le fait d’avoir pu trouver les joueurs qu’il faut à des postes dont l’équipe avait besoin pour se lancer des challenges qu’on a relevés jusque là. »A partir du moment où l’on met de la bonne volonté, les joueurs sont là, les dirigeants sont là et puis on peut arriver à des résultats, rien n’est impossible, il faut avoir la volonté.