Les U17 et la réalité d'un Mondial
Le sélectionneur Dominique Wacalie avait mis en place un système d’évaluation pour maintenir tout le monde sous pression :
Dominique Wacalie a bien conscience que les Cagous risquent de souffrir contre des sélections de meilleur niveau au Mondial. Il prépare ses joueurs "à courir après le ballon", mais être en mesure "d'être bien organisés à la récupération afin de se projeter rapidement vers l'attaque et procéder en contre". Arriver dans les meilleures dispositions mentales, tactiques, mais aussi et surtout physiques, est une nécessité. L’adaptation a déjà commencé chez les Kiwis :
La suite pour les U17 ? Trois séances hebdomadaires d’entraînements jusqu’au mois d’août. Ils devraient affronter les moins de 20 ans Cagous et des clubs de Super Ligue avant un deuxième stage en Australie où ils pourraient rencontrer la sélection U17 locale et les équipes jeunes de deux clubs professionnels.
Les Cagous face aux "ogres" du judo
Neuf filles et garçons de la deuxième génération du pôle espoir de Nouvelle-Calédonie sont rentrés dimanche de deux semaines au Japon. Ils ont fait le tour des grandes universités et participé à un stage organisé par la Fédération Internationale à Tokyo. Sur le tapis, face à eux, du très lourd. 17 nations représentées et les meilleurs de la planète, Teddy Riner compris. Une expérience incroyable pour l'ensemble de la délégation cagoue. Avant la Coupe de France cadet en octobre pour William Fayard, le championnat de France sénior deuxième division pour le sénior Téva Gouriou, et les Mini Jeux pour le reste des troupes, on ne pouvait rêver meilleur préparation et motivation. Laurent Calleja, le responsable du pôle raconte l'aventure :
Un apprentissage difficile sur place, mais qui restera gravé et portera ses fruits :