Suite à l’agression physique dont a été victime une conductrice dimanche matin, à 8 heures, dans le quartier de Saint Quentin, les chauffeurs ont posé les clés ce matin.
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Il faut dire que le métier devient de plus en plus difficile avec des agressions chroniques dans certains quartiers comme Kaméré, cité Pierre Lenquette ou encore Rivière Salée. Insultes, agressions physiques, caillassages mais aussi vols de caisse ou des affaires personnelles des conducteurs, lorsqu'ils prennent leur pause.
Une situation qui devient préoccupante pour les hommes et les femmes qui travaillent dans le transport public, et qui coûte de plus en plus cher, en terme de réparation. Christian Roques est conducteur depuis 20 ans.
Un pare brise à réparer coûte 600.000 FCFP, une simple vitre 100.000 FCFP.
A midi, les 93 bus des 26 lignes reprennent du service pour ne pas prendre en otage les voyageurs alors que dès ce matin, encore, un caillassage a été perpétré sur l’un des bus.
Reportage Karine Arroyo et Carawiane Carawiane
Une situation qui devient préoccupante pour les hommes et les femmes qui travaillent dans le transport public, et qui coûte de plus en plus cher, en terme de réparation. Christian Roques est conducteur depuis 20 ans.
Un pare brise à réparer coûte 600.000 FCFP, une simple vitre 100.000 FCFP.
A midi, les 93 bus des 26 lignes reprennent du service pour ne pas prendre en otage les voyageurs alors que dès ce matin, encore, un caillassage a été perpétré sur l’un des bus.
Reportage Karine Arroyo et Carawiane Carawiane