Dans le cadre de la semaine de l’entrepreunariat, l’Adie organisait cette semaine des ateliers dédiés à la création d’entreprise un peu partout sur le territoire. Chaque année, l’antenne locale de l’Adie accompagne près de 1000 créateurs d’entreprise.
•
Soutenir la relance de l’entrepreunariat, c’est le but de la semaine de sensibilisation organisée par l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie). L’antenne calédonienne – qui couvre aussi Wallis-et-Futuna –, organisait cette semaine 30 ateliers pour faire découvrir la création d’entreprise.
Chaque année, environ 1 000 porteurs de projets sont financés par l’Adie. Des créateurs de tous âges, genre et de tous niveaux d’étude. « Les deux seules conditions pour obtenir un financement de l’Adie, c’est d’avoir un projet et de ne pas avoir accès au crédit bancaire », explique Delphine Cottin, directrice adjointe de l’Adie.
Grâce à l’Adie, elles ont pu lancer leur marché dédié aux Broméliacées. Cette activité permet notamment de financer la scolarité des enfants. Avantage du prêt de groupe explique Lucynda, « pas besoin de cautionnaire, nous sommes toutes trois cautions solidaires de leur projet. »
La semaine organisée par l’Adie a pour but d’inciter tous ceux qui ont un projet à se lancer, où qu’ils se trouvent. Des ateliers étaient donc organisés en tribu. Mercredi, l’Adie s’est ansi déplacé à Ometteux sur la commune de Poindimié. Daniel Oumattu, un habitant de la tribu, qui a bénéficié d’un prêt de l’ADIE pour son activité agricole a raconté son expérience : « J’ai financé mon tracteur, en 2013 […], je me suis ensuite mis également aux espaces verts. J’ai fait un financement de l’Adie pour acquérir la débroussailleuse, un souffleur. Et aussi mon dock. »
Grâce à cette semaine, l’Adie espère convaincre de nouveaux porteurs de projet de recourir à ses services. L’association indique que les projets qu’elle accompagne ont un taux de pérennité de 83%.
Chaque année, environ 1 000 porteurs de projets sont financés par l’Adie. Des créateurs de tous âges, genre et de tous niveaux d’étude. « Les deux seules conditions pour obtenir un financement de l’Adie, c’est d’avoir un projet et de ne pas avoir accès au crédit bancaire », explique Delphine Cottin, directrice adjointe de l’Adie.
Delphine Cottin détaille le programme de la semaine
« Les deux seules conditions pour obtenir un financement de l’Adie, c’est d’avoir un projet et de ne pas avoir accès au crédit bancaire »
Prêts de groupe
Pêche, couture, commerce, tout est possible. Même emprunter à plusieurs. Depuis trois ans, l’Adie accorde en effet des prêts de groupe. A Hmeleck, dans le district du Lössi, Nathalie, Wahmija et Lucynda en sont les premières bénéficiaires de Lifou.Grâce à l’Adie, elles ont pu lancer leur marché dédié aux Broméliacées. Cette activité permet notamment de financer la scolarité des enfants. Avantage du prêt de groupe explique Lucynda, « pas besoin de cautionnaire, nous sommes toutes trois cautions solidaires de leur projet. »
Le reportage de Clarisse Watue avec les bénéficiaires de l'Adie à Hmeleck
La semaine organisée par l’Adie a pour but d’inciter tous ceux qui ont un projet à se lancer, où qu’ils se trouvent. Des ateliers étaient donc organisés en tribu. Mercredi, l’Adie s’est ansi déplacé à Ometteux sur la commune de Poindimié. Daniel Oumattu, un habitant de la tribu, qui a bénéficié d’un prêt de l’ADIE pour son activité agricole a raconté son expérience : « J’ai financé mon tracteur, en 2013 […], je me suis ensuite mis également aux espaces verts. J’ai fait un financement de l’Adie pour acquérir la débroussailleuse, un souffleur. Et aussi mon dock. »
Le témoignage de Daniel Oumattu au micro de Marguerite Poigoune
Grâce à cette semaine, l’Adie espère convaincre de nouveaux porteurs de projet de recourir à ses services. L’association indique que les projets qu’elle accompagne ont un taux de pérennité de 83%.