Le syndicat prend au sérieux la crise sanitaire liée au coronavirus. Il adapte donc sa mobilisation du 1er mai aux circonstances. Côté économie, l’USTKE demande la création d’un fonds souverain et la prolongation des mesures du chômage partiel.
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Dans un contexte marqué par le Covid-19, l’USTKE a décidé d’annuler cette année sa traditionnelle marche du 1er mai. Une décision liée notamment à l’interdiction des rassemblements de plus de cinquante personnes.
Le syndicat va tout de même marquer l’événement en réunissant une partie de ses adhérents pour partager autour d’un film revenant sur les dix dernières années de défilés.
L’USTKE s’inquiète des conséquences économiques du confinement et de la crise, avec des secteurs particulièrement touchés comme ceux du tourisme ou de l’hôtellerie. Il demande ainsi la prolongation des mesures d’indemnisation du chômage partiel jusqu’en fin d’année.
André Forest, le président du syndicat, répond à Brigitte Whaap :
Le syndicat va tout de même marquer l’événement en réunissant une partie de ses adhérents pour partager autour d’un film revenant sur les dix dernières années de défilés.
Prolonger le chômage partiel
Le syndicat a également abordé lors d’une conférence de presse sa vision de la gestion de la crise sanitaire.L’USTKE s’inquiète des conséquences économiques du confinement et de la crise, avec des secteurs particulièrement touchés comme ceux du tourisme ou de l’hôtellerie. Il demande ainsi la prolongation des mesures d’indemnisation du chômage partiel jusqu’en fin d’année.
André Forest, le président du syndicat, répond à Brigitte Whaap :